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*Merci aux éditions Au diable Vauvert et spécialement à Marion, pour m'avoir donné l’opportunité de lire ce livre en lecture de presse*

Touriste, Julien Blanc-Gras 
Éditions Au diable Vauvert, 273 pages - octobre 2016
Roman

Le commentaire de Cathy : 
J'ai vraiment passé un super moment lors de la lecture de ce roman, j'ai vraiment eu l'impression de voyager avec le narrateur. Sous forme de chroniques Julien Blanc-Gras nous partage ses voyages à travers différents pays. Il a traversé une multitude de pays, rencontré un tas de personnes et admiré plein de paysages. De la Colombie au Maroc, ces beaucoup de cartes qu'il nous fait découvrir, il est juste témoin du monde à un moment donné. On est constamment sur le qui -vive ne sachant jamais ce qu'il va se passer. Julien Blanc-Gras est là pour nous parler des dysfonctionnements et des absurdités du monde, mais toujours avec de l'humour. Si vous avez une envie de voyage, de vous détendre, je ne peux que vous conseillez de lire ce livre. Merci Julien Blanc-Gras pour ce très bon moment.

Résumé:
Obsédé par les cartes, le narrateur décide de visiter tous les pays du globe. Des favelas colombiennes aux hôtels clubs tunisiens, en passant par les karaokés du Yang-tsé-Kiang, les villages oubliés du Mozambique, les vagues polynésiennes, les plateaux de Bollywood, le tumulte du Proche-Orient et même par la Suisse, ce promeneur globalisé nous guide à travers l’inépuisable diversité des mondes.
Avec ce roman géographique, Julien Blanc-Gras nous propose une esthétique du voyage simple, aventureux, drôle et intelligent.
« Certains veulent faire de leur vie une œuvre d’art, je compte en faire un long voyage. Je n’ai pas l’intention de me proclamer explorateur. Je ne veux ni conquérir les sommets vertigineux, ni braver les déserts infernaux. Je ne suis pas aussi exigeant. Touriste, ça me suffit. Le touriste traverse la vie, curieux et détendu, avec le soleil en prime. Il prend le temps d’être futile. De s’adonner à des activités non productives mais enrichissantes. Le monde est sa maison. Chaque ville, une victoire. Le touriste inspire le dédain, j’en suis bien conscient. Ce serait un être mou, au dilettantisme disgracieux. C’est un cliché qui résulte d’une honte de soi, car on est toujours le touriste de quelqu’un. »

Tag(s) : #ROMAN, #CATHY LG