Lu et commenté par Martine Lévesque
LES NOTES DE SANG
CORINNE DE VAILLY (auteure-partenaire)
Editions Recto-Verso
Nombre de pages: 310
Roman Québecois, fiction, steampunk
Le commentaire de Martine:
Je tiens premièrement à remercier Corinne DeVailly qui est une auteure-partenaire au sein de notre groupe pour sa générosité. Dans ce roman, l'auteure nous transporte dans un univers steampunk fidèle et saisissant, Les notes de sang aborde un genre encore trop peu connu mais aux possibilités étonnantes.
Dans cette histoire, il y a un violon, quand il est entre les mains d’un violoniste tsigane, il guérit les maladies, les blessures et les infirmités. Tandis qu'entre les mains d’une personne malhonnête, les mélodies improvisées, plaintives, entraînent la mort et la destruction. L'horloger va désirer posséder cet instrument pour mettre fin à la souffrance de sa famille. Et ainsi, nous allons rencontrer d'autres personnages pour qui leur violon aura aussi de l'importance.
Au final, Les notes de sang m'a fait passer un bon moment de lecture. C’est un roman agréable à lire. Il nous aspire dans une atmosphère véritable, que nous touchons et sentons à chaque page. Tout est bien construit et nous tient en haleine tout au long de ce roman. Pour les amateurs du genre steampunk autant que pour les non-initiés, il est à conseiller.
Résumé:
À Londres, en 1850, meurt un légendaire violoniste tsigane. Peu après, par une froide journée pluvieuse, la communauté des «Fils du vent» se retrouve au cimetière. Après l'enterrement, on abandonne un violon sur la tombe du défunt, et un jeune homme s'en empare. Selon une légende tsigane, cet instrument de musique aurait été fabriqué avec des ossements humains. Hawthorne Lambton, maître horloger, convoite ce violon qui, il en est convaincu, a le pouvoir de lever la malédiction qui pèse sur sa famille de génération en génération. Et l'on s'enfonce peu à peu dans les bas-fonds de la capitale anglaise, où machines à vapeur et êtres surnaturels font la loi.
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