LA PEAU DU MAL-Corinne de Vailly-auteure partenaire

Lu et commenté par Martine Lévesque

La peau du mal

Corinne de Vailly

Editions Recto/Verso

288 pags

Roman Steampunk

Le commentaire de Martine:

Je tiens à remercier Corinne DeVailly, auteure-partenaire dans notre groupe, pour sagénérosité. La peau du mal est un roman qualifié de steampunk, qu'est-ce que cela signifie : un genre aussi appelé rétro-futuriste, l’action des récits « steampunk » est généralement située au XIXe siècle. Il s’agit d’un mélange d’uchronie, de technologie rétro et d’atmosphère victorienne, présentant des éléments fantastiques ou de science-fiction, avec une esthétique à la fois industrielle et baroque. Une bonne histoire qui tient la cadence, nous nous retrouvons avec un groupe de Grim keapers qui sème la terreur au sein de la population. Une quête afin de mettre la main sur un livre, fait avec de la peau humaine qui serait caché, quelque part, dans la boutique de Fingal, l'aïeul peut les aider... L'écriture de l'auteure est magnifique, ce roman se lit très bien. Je trouve que le respect du style steampunk est très respecté alliant engrenages, robots, automates et autres machines qui s’intègrent à ce récit, y créant une atmosphère glauque de fin du monde. J'ai aimé ma lecture, j'ai passé un beau moment agréable.

Résumé:

Une histoire enlevante s'inspirant de faits réels! Édimbourg, Écosse, 1838. Braconnant dans les collines d'Édimbourg, des enfants découvrent plusieurs mini-cercueils. Ces sarcophages sont peut-être liés à des événements survenus dix ans plus tôt, alors que deux tueurs en série sévissaient dans les rues mal famées de la «Vieille Enfumée». Y a-t-il un lien avec LE fameux livre que le professeur Rothstone recherche jusque dans la boutique tenue par Niamh et son frère handicapé, Fingal Angus? Et d'où sortent ces Grim Reapers, chevauchant leurs engins à vapeur, qui terrorisent la population? Fingal, Niamh et son fiancé, le détective Mael Cullium, seront pris dans un tourbillon d'événements où spiritisme, machines à vapeur et êtres violents se côtoient.

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