*Rinzen et l’homme perdu
*Johanne Seymour
*Expression Noire, Libre Expression
*288 pages
*Thriller
Merci aux Éditions Libre Expression, , pour l'opportunité qui m'a été donnée de livre ce livre!
Commentaire de Lynda Massicotte :
J’ai découvert l’auteure Johanne Seymour tout récemment. Comme le précédent roman, que j’avais lu, on embarque tout doucement dans une enquête policière, pour des meurtres assez étranges.
Je comparerais ce livre à un immense casse-tête, où chacun des chapitres, s’emboîtent, en nous laissant sur une impression de curiosité. Pourtant on n’avance, on découvre d’autres indices, et encore on ne voit pas du tout où tout cela va nous mener.
Même si j’ai l’habitude de lire des thrillers, et qu’il m’arrive de ‘’voir venir’’ je dois avouer que ce roman ne fut pas le cas. J’espérais comprendre ce qui se passait, j’espérais en savoir plus, mais c’est seulement en avançant dans le livre que notre curiosité est rassasiée, pas avant.
Et comme tout comme nous sommes fières, quand nous installons le dernier morceau d’un casse-tête, la fin (qui suppose qu’il y aura probablement une suite, du moins je l’espère), comble notre curiosité en répondant à toutes nos questions.
La très sympathique Rinzen Gyatso, enquêteure policière, est excellente. On s’attache à ce personnage, qui nous parle un peu de ses origines tibétaines et bouddhistes. On s’attache également à son partenaire enquêteur, Luc Paradis, un gars pas simple, mais avec qui elle s’entend très bien.
Je vous laisse sur ces mots, en vous disant simplement que c’est un livre à lire, sans faute!
Résumé :
Un enfant qui se sent disparaître, le journal d'un confesseur, un vieillard crucifié… et un étonnant duo d'enquêteurs : Rinzen Gyatso, une bouddhiste qui vit avec son fils de sept ans et ses parents tibétains, et Luc Paradis, un athée insomniaque qui, la nuit, s'entraîne à la boxe et arpente le quartier gai. Quand le frère Samuel Clément est trouvé mort dans son appartement, Rinzen et Paradis plongent au cœur d'une enquête qui ébranle leurs convictions et les oppose. Et leur supérieur, le lieutenant Gerry Desautels, en pleine crise existentielle de la cinquantaine, ne leur est d'aucun secours. Plus les victimes s'additionnent, plus l'équipe se perd en hypothèses.