*Je tiens à remercier Jane Ferland des éditions Septentrion de m'avoir envoyer en lecture de presse ce roman*
-Janvier tous les jours
-Valérie Forgues
-Éditions Septentrion - Collection Hamac – 2017
-162 pages
-Roman, amour, amitié, partage, maladie, sensibilité, littérature québécois
Le commentaire de Martine :
Je suis heureuse d'avoir reçu ce roman, car il avait captivé mon attention dès que j'ai lu le résumé. Un beau roman qui met en relief l'amitié, l'amour comment peuvent-elles survivre au travers les années. Puisque Janvier et Anaïs vont grandir en entretenant cette relation de symbiose qui s'est créé en eux.
Je peux écrire que Valérie Forgues m'a séduite avec sa plume, quelle beauté, quelle poésie. Je me suis laissé bercer par ses mots, elle touche au cœur le lecteur. Une écrivaine qui se lit super bien et qui manie le verbe en toute subtilité. Un roman de moins de 200 pages qui s'incrustent dans nos cœurs et qui m'ont marqué comme lectrice.
J'ai passé un beau moment au cœur de l'histoire d'Anaïs et de son amour pour Janvier son ami qui profite de tous les beaux moments qu'ils ont pu passer ensemble comme un cadeau que la vie leur offrait. La sensibilité de Valérie Forgues dans son roman m'a bouleversée, elle donne la sensation au lecteur de vivre au cœur de son roman et d'être chanceux de partager ses moments avec ses personnages. Quelle belle lecture et quoi de mieux pour réchauffer un cœur en hiver, merci !
Résumé :
Anaïs et Janvier s'aiment depuis l'enfance. Ils grandissent auprès de Noëlla, la tante de Janvier. Dans la Basse-Ville de Québec, près de la rivière Saint-Charles, entourés de livres et de chansons, ils sont à l'abri de tout, sauf des coeurs nénuphars. Comme la Chloé de Boris Vian, Janvier est malade et Anaïs est terrorisée. Obsédée par la mort qui guette, elle pousse tout croche. Alors que toutes les filles de son âge font des bébés, elle écrit des romans et s'invente une histoire où son ami ne mourra pas. Quand le coeur de Janvier s'arrête de battre, qu'il n'y a plus nulle part où se protéger de l'arrachement, Anaïs s'enfuit. Des rues de Québec à la campagne française, elle fugue, rapièce son coeur, tombe amoureuse et se fait croire que tout va bien, jusqu'à ce que la musique la rattrape.