*Merci à Anita des éditions du 38 pour m'avoir donné l'opportunité de lire ce roman en service de presse*
-Antithèse
-Jean-Baptiste Ferrero
-Editions du 38
-112 pages
-Roman policier,polar,humour noir
Le commentaire de Danielle :
C' est un tout petit roman qu' a écrit Jean-Baptiste Ferrero, mais tous ses romans, se dégustent et se mangent comme le célèbre rocher enveloppé dans le papier doré (petit clin d'œil à l'auteur)
Encore une fois,et toujours en compagnie de Thomas Fiera le célèbre détective privé et son langage grossier et une élève, Héloïse qui l'aborde pour faire un stage avec lui et une partie de ses francs-tireurs que nous allons suivre cette fois-ci dans une université . Il a rendez-vous avec Paul Dubreuil directeur du département linguistique et professeur émérite pour élucider l'histoire sur des faux diplômes, mais pas que. C'est aussi une histoire de trafic avec à sa tête le chef Pavel, mais je n'en dirai pas davantage . Ce sera à vous de découvrir lequel.
Le professeur Dubreuil qui tout comme à Thomas, m'a tapé sur le système avec ses jeux de mots débiles.
Constance, la secrétaire et maîtresse du directeur m'a beaucoup fait rigoler.
Héloïse est une personne attachante et sa lettre de motivation, pour que Thomas la prenne en stage est très très courte, mais vraiment elle est à lire!
Le commissaire Vernier qui connaît que trop bien Thomas, devient nerveux dès que celui-ci le contacte, car il sait que partout ou Thomas passe ce n'est que morts et qu'il sème le désordre.
J'ai encore une fois adoré, dévoré ce roman de Jean-Baptiste Ferrero et si vous ne le connaissez pas encore n'hésitez plus. Foncez!
Résumé:
En retournant à la Fac, département linguistique, Thomas Fiera ne s’imagine pas approfondir ses connaissances sur la sémantique cachée des poètes du Moyen-Âge, mais il croit tout de même pouvoir renouer un peu avec sa jeunesse. Le pèlerinage nostalgique va très vite tourner court et Thomas va devoir se coltiner un linguiste insupportable, une amatrice de Saint-John Perse complètement déjantée, un sculpteur priapique et des Moldaves comme s’il en pleuvait. Mais quand de vrais méchants entrent dans la danse, Fiera renonce aux arguties théoriques pour leur préférer le napalm académique. Il va y avoir du rififi au firmament des philologues ! Plus simplement : encore une fois, Thomas Fiera va devoir faire le ménage, et quand on sait qu’il préfère le flingue au plumeau, on peut s’attendre à tout...