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*Merci à Gipsy Paladini de m'avoir donné l’opportunité de lire son livre en lecture de presse*
-J'entends le bruit des ailes qui tombent
-Gipsy paladini
- Auto-édition
-454 pages
-Thriller, roman noir, auto-édition
Le commentaire de Cathy :
De très jeunes enfants sont retrouvés assassinés chez eux dans des scènes très macabres. Al Seriani qui revient après avoir été obligé de prendre du repos est chargé de l'enquête et quelle enquête. Un tueur qui lui file entre les doigts, des scènes de crimes affreuses, comment va s'en sortir Al ? J'ai déjà rencontré Al Seriani en lisant " Sang pour sang " et j'avais vraiment beaucoup aimée ce personnage. Al est rongé par les événements qui se sont passé dans le passé, il a du mal à se reconstruire et dépasse les bornes. Les scènes de meurtres sont tellement détaillées et sombre que ça fait froid dans le dos. Une écriture plus musclée que dans le premier roman que j'ai lu, une belle évolution du style de l'auteure qui était déjà très bon. Une histoire qui se passe à la fin des années 60, j'ai beaucoup aimé le moment où Al rencontre Charles Manson et Ted Bundy, quelle imagination et quel plaisir. Un livre impossible de lâcher avant la toute dernière page. Un roman sombre vous l'aurez compris, mais que j'ai beaucoup aimée. Merci Gipsy Paladini pour ce moment de lecture, vraiment hâte de continuer à vous lire. J'aimerais beaucoup retrouver Al bien évidemment, j'aime tellement ce personnage.
Résumé :
Al avait déjà pensé au mal, le pur et dur, celui qui ne connaît ni la souffrance, ni la morale, celui qui évolue dans un néant absolu sans passé, sans présent, sans futur. Il avait parlé à des tueurs dans les yeux desquels il n’avait rien lu. Le vide. Le noir. Un abîme. Pas même une branche pourrie à laquelle s’accrocher. On plongeait en chute libre dans leur rétine et on ne s’arrêtait jamais, parce que le mal n’a pas de fond."
New York. 1969. Entre les bouleversements sociaux et politiques qui saignent les Etats-Unis en cette fin de décennie, des meurtres ne pèsent pas lourds dans une ville comme New York. Mais lorsque des enfants sont retrouvés chez eux assassinés dans des mises en scène macabres, la terreur s’installe. Al Seriani, un flic rongé par la culpabilité depuis la mort de son