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*Merci aux Éditions Presses de la Cité, ainsi qu'à Céline d'Interforum, pour m'avoir donné l'opportunité de lire ce livre en service de presse*
-On la trouvait plutôt jolie
-Michel Bussi
-Éditions Les Presses de la Cité, distribué par Interforum
-464 pages
-Suspense, Thriller, policier, secrets de famille
Le commentaire de Lynda :
Une lecture que j'ai vraiment aimé, je n'ai pas eu l'occasion de lire un Michel Bussi, et je comprends maintenant pourquoi il y a un tel engouement pour cet auteur.
Ce ne sera pas facile de faire un commentaire, et de ne pas trop en révélé et pour ne pas gâcher votre lecture!
Leyli, quel personnage en passant, mère de trois enfants, Bamby, Alpha et Tidiane. Au cours de l'histoire, nous allons apprendre à connaître cette famille, et surtout nous allons en apprendre un peu plus sur les migrants!
Une enquête super bien menée, même si on connaît le meurtrier presque au départ, ce que l'on ne sait pas c'est ''POURQUOI'', ça c'est la question que l'on doit se poser, et c'est vers la réponse à cette question que l'auteur nous amène, tout doucement.
Leyli, qui veut améliorer sa vie et la vie de ses enfants. Elle qui se croit une mauvaise mère, elle qui veut changer les choses.
Mais ce livre est avant tout sur les migrants, sujet bien d'actualité. La façon qu'ils sont traités, considérés et vus par les yeux de la planète entière, pourtant ces gens s'ils avaient le choix, resteraient sans hésitation dans leurs pays d'origine.
Au moment où on s'y attend le moins, l'auteur nous arrive avec un rebondissement tel que nous en sommes complètement surprises.
Je vous conseille ce roman aux multiples surprises, aux multiples questions et surtout à une fin que je suis certaine vous n'avez pas deviné!
Résumé :
Du désert sahélien à la jungle urbaine marseillaise, en quatre jours et trois nuits...
Un suspense renversant et bouleversant.
« – Qu'est-ce qui ne va pas, Leyli ? Vous êtes jolie. Vous avez trois jolis enfants. Bamby, Alpha, Tidiane. Vous vous en êtes bien sortie.
– Ce sont les apparences, tout ça. Du vent. Il nous manque l‘essentiel. Je suis une mauvaise mère. Mes trois enfants sont condamnés. Mon seul espoir est que l'un d'eux, l'un d'eux peut-être, échappe au sortilège.
Elle ferma les yeux. Il demanda encore :
– Qui l'a lancé, ce sortilège ?
– Vous. Moi. La terre entière. Personne n'est innocent
dans cette affaire. »