-Seule,de l'autre côté
-Cédric Charles Antoine
-Auto édition, collection Lordkasen
-380 pages
-Roman,suspense,drame,historique
*Merci Cedric Charles Antoine pour m'avoir donné l'opportunité de lire votre roman en service de presse*
AMAZON FRANCE: ICI |
---|
AMAZON CANADA: ICI |
Le commentaire de Danielle:
Eva a 22 ans en ce 13 août 1961, jour de construction du mur de Berlin. Jour qui va l'éloigner de son amour Erik. Cet amour qui dans son cœur ne mourra jamais.
Londres, 31 ans plus tard, William veuf, est toujours au fond de lui amoureux de la belle Eva.
Un tableau exposé dans la vitrine d'un antiquaire, va raviver des souvenirs enfouis, mais qui vont mener William dans une enquête en ex RDA.
Je ne sais pas pourquoi je n'avais pas encore pris la peine de lire un roman de cet auteur.
J'ai littéralement dévoré ma lecture en quelques heures tellement l'histoire est prenante, très bien écrite et très bien documentée.
Entre secrets, amours non dévoilés et histoire d'un pays partagé en deux par un mur, est-il bon de remuer le passé ?
William a-t-il raison de vouloir à tout prix retrouver Eva?
Mais de terribles découvertes ne vont-elles pas finalement faire plus de mal que de bien ?
Qui est réellement ce peintre qui a peint ce tableau ?
Je reprends une phrase du roman. (La culpabilité est un sentiment effroyable pour celui qui l'admet.,une sentence lancinante qui ronge et s'accroît avec le temps)
Si vous ne connaissez pas encore les romans de Cédric Charles Antoine n'attendez plus!
Si vous aimez les romans historiques, vous allez aimer ce roman que je ne peux que vous conseiller.
Résumé:
Devant ce mur, impuissant, je l’ai regardée pleurer.
En 1992 à Londres, j’ai repéré un étrange tableau exposé chez un antiquaire de quartier. C’était le parfait sosie d’une femme que j’avais aimée en secret à Berlin, en 1961. Elle franchissait souvent le Checkpoint quand j’étais en poste comme officier britannique. L’œuvre la représentait à la perfection, les détails de son visage m’ont sauté aux yeux. Impossible d’oublier Eva, même 31 ans après. Submergé par la nostalgie, j’ai acheté la toile. Le vendeur ne connaissait pas son origine ni le nom de l’artiste. De retour chez moi, je n’avais qu’une idée en tête, la retrouver, là-bas, en Allemagne. J’ai reconstitué mes souvenirs avec l’aide de mon ami Paul, un ancien de la marine. J’étais un jeune veuf en pleine reconstruction, cette enquête me redonnerait certainement goût à la vie.
Emporté par l’élan de l’espoir, aveuglé d’égoïsme, je n’ai pas su appréhender le drame que mon action allait provoquer…