


-Dans l'univers d'une gaffeuse
-Tomes 1 et 2
-Anick Landry
-Essor Livres
-226 pages
-Témoignage, jeunes adultes, québécois.
*Merci à Anick Landry, auteure partenaire de Mille et une pages LM, pour m'avoir donné l'opportunité de lire ce livre en service de presse*
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Le commentaire de Lynda :
Que dire de ce tout petit livre, et bien, tout d'abord, il se lit assez rapidement, étant présenté par de courts chapitres, que je nommerais des billets.
On se met à la place du personnage principal de ce roman auto-biographique, et l'on vit avec elle ses expériences dans la société, mais aussi au niveau personnel. L'auteure a commencé l'écriture de ce livre, alors qu'elle était encore adolescente, et on peut ressentir vraiment le changement dans la personnalité de ses mots, quand on entame la deuxième partie du livre qui a été écrit 3 ans plus tard.
Certains billets m'on fait sourire, d'autres m'ont touché profondément, quand par exemple elle nous parle de ses TOC.
J'ai eu l'impression à quelques reprises de me retrouver en train de ''jaser'' avec une de mes petites-filles et non pas d'être en train de lire ce livre. Un petit, je ne sais quoi, rend cette jeune femme attachante.
Bref, c'est un survol de la vie d'Anick adolescente, qui traverse le chemin de la vie, vers le début de l'âge adulte. Je ne vous dévoilerai pas les sujets, se serait spoiler la lecture, par contre ce que je peux vous dire, c'est que l'on sent que ce livre a été écrit avec le cœur et certains sujets vous le feront sentir.
Une écriture simple, des mots qui n'ont pas peur d'être dit. Bravo à cette jeune auteure qui a décidé de réaliser son rêve. Merci Anick pour cette lecture !
Résumé :
Lorsque j’ai fait mon entrée au secondaire, la naïveté et l’insouciance faisaient partie intégrante de moi, sans que je ne le réalise vraiment. Sans être timide, je passais assez inaperçue en me conformant aux normes et standards établis par une société autrefois adolescente.
Introvertie, mais sociable de nature, j’avais un goût prononcé pour la simplicité, je faisais aveuglément confiance aux gens, je m’acharnais à vivre dans le succès et je rêvais d’un futur romantique à souhait. Car c’est normal d’être optimiste lorsqu’on ne connait pas encore le drame. D’ouvrir son cœur sans avoir appris l’amour. De faire confiance lorsqu’on ne sait rien de la trahison. De dire ce qu’on pense sans avoir subi le jugement. De s’attacher sans avoir vécu la dépendance…
Mais c’est surtout ô combien facile de fermer les yeux sur ce qu’on ne veut pas voir. Heureusement pour moi, j’ai eu 21 ans et j’ai arrêté de me cacher la tête dans le sabl