

-Paranoïa, le jour où la pluie commença
-Émilie Courts
-Évidence Éditions
-472 pages
-Drame, psychologie
*Merci à Évidence Éditions pour m'avoir donné l'opportunité de lire ce très bon roman en service de presse*
ÉVIDENCE ÉDITIONS: ICI |
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Le commentaire de Nathalie :
Avec ce roman, nous entrons dans un monde encore trop souvent tabou.
La maladie mentale.
Dans la première partie, nous suivons Sarah (Sophie) dans un institut psychiatrique.
Sa vie, les rencontres qu'elle fait avec sa psychologue. Elle lui fait raconter sa vie, ses amoureux, ses rêves et bien plus encore.
On la suit dans son quotidien, celui qu'elle se fait, celui que la voix lui montre. Ses tocs et ses cauchemars… Elle n'a pas vraiment conscience d'être où elle est vraiment.
Mais surtout que s'est-il vraiment passé pour qu'elle se retrouve là ?
Nous en apprenons plus dans la deuxième partie du livre.
Mais qu'est-ce qui est vrai, qu'est qui est faux ? Comment séparer le réel de l'imaginaire.
L'auteure nous transporte dans un monde tabou, dur et surtout un monde que l'on refuse encore de voir. La maladie mentale existe et grâce à son écriture directe, franche, parfois réelle et dérangeante nous sommes engloutis dans le monde de Sarah (Sophie). On y croit, on le vit avec elle. On voudrait l'aider, mais tout ça est-ce vraiment vrai ?
À vous de le savoir!!!
Résumé
Délire interprétatif construit sur une perception faussée du réel. Croyances de persécution liées à une menace perçue comme provenant des individus.
Sarah, du haut de sa trentaine d’années, a une vie banale, triste, monotone, rassurante mais désespérément normale. Pourtant, de plus en plus de détails semblent perturber cette petite existence tranquille.
Pourquoi l'appelle-t-on Sophie ?