-La maison des Turner
-Angela Flournoy
-Éditions 10/18, distribué par Interforum Canada
-480 pages
-Saga familiale, raciste, famille, premier roman
*Merci aux Éditions 10/18 ainsi qu'à Martine Côté d'Interforum Canada, pour m'avoir donné l'opportunité de lire ce roman en service de presse*
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Le commentaire de Lynda :
Comment ne pas aimer cette sympathique famille. Une grande famille de 13 enfants qui vivront des hauts et des bas. Nous suivrons Viola et Francis, les parents ainsi que plusieurs de leurs enfants, de leurs jeunesses à leurs vies adultes. Nous vivrons avec eux leurs peurs, leurs déboires conjugaux, leurs chicanes et leurs addictions, s’en oublier leurs grands cœurs, car même s’ils ne sont pas toujours d’accord sur certains sujets (comme la vente de la maison familiale) ils sont toujours prêt à s’entraider. C’est un excellent roman qu'Angela Flournoy nous livre. Elle a réussi à tenir mon attention tout le long du livre. J’ai particulièrement aimé Cha-Cha, l’aîné de la famille qui est au prise avec un fantôme ainsi que Lelah, la petite dernière qui est une joueuse compulsive. Mais nous allons aussi retrouver tous les autres membres de cette merveilleuse famille qui viendront, chacun leur tour, mettre leur grain de sel. C’est un roman super bien écrit qui nous fait voir que la vie d’une grande famille n’est pas toujours aussi facile qu’on le pense.
Un premier roman pour cette auteure, qui nous donne un aperçu de son beau talent. Angela Flournoy, nous fait vivre au sein de cette famille, en y ajoutant des touches drôles, émouvantes, mais toujours très réalistes et encore d'actualité, par les événements que l'on rencontre dans cette famille.
Que puis-je vous dire d'autre que c'est un roman à lire, une auteure à connaître, qui n'a rien à envier aux grands auteurs célèbres !
Résumé :
Cela fait plus de cinquante ans que la famille Turner habite Yarrow Street, rue paisible d'un quartier pauvre de Detroit. La maison a vu la naissance des treize enfants et d'une foule de petits-enfants, mais aussi la déchéance de la ville et la mort du père.
Quand Viola, la matriarche, tombe malade, les enfants Turner reviennent pour décider du sort de la maison qui n'a désormais plus aucune valeur, la crise des subprimes étant passée par là.