/image%2F1968841%2F20180524%2Fob_c3e699_logo-128-128-beveled.jpg){kind=logo}
-L'espoir a un goût de métal suave
-Orianne Duprat
-Publishroom, 2019
-106 pages
-Roman contemporain, art, peinture.
*Je tiens à remercier Publishroom pour ce service de presse*
Le commentaire de Martine : COUP DE COEUR!
Un premier roman pour Orianne Duprat, mais une œuvre d’art inestimable, tout au long de son récit nous retrouvons des toiles insérées qui se marie bien avec le dénouement de l’intrigue.
Arthur, artiste solitaire, qui souffre d’être seul et qui fait une quête pour se découvrir. Un texte poétique qui joue avec les mots, qui garde le lecteur connecté aux sentiments que dégage le texte. Le deuil est toujours une étape ou un événement qui provoque une introspection, des révélations qui bouleversent qui amène une transformation à l’endeuiller.
Je peux dire que ce roman d’Orianne Duprat m’a épaté par sa justesse, son réalisme et la grandeur de l’œuvre. C’est assez aberrant de dire que c'est une auteure naissante puisque si je regarde la beauté de son roman, je serai plus porté à dire que c’est une auteure accomplie qui présente ce récit.
Un bon moment de lecture, un beau moment aussi avec l’art qui meuble le récit. Je vous recommande de découvrir la plume d’Orianne Duprat et son art.
Résumé :
Artiste esseulé et endeuillé, Arthur quitte l'univers qui l'a vu grandir et part en quête de lui-même.
Faire son deuil, fuir le long d’une route indienne, l’angoisse et son goût de fonte froissée, la jungle du chaos. Pour Arthur, 26 ans, artiste en rupture avec les siens, penser, sentir et peindre ne font qu’un.
Le décès de sa mère et un secret de famille bouleversent ses certitudes et son rapport au monde : jusqu’où vacillera son identité ?
Un roman qui prend la forme d'un récit initatique et qui emmène le lecteur à la découverte de l'intimité de personnages en quête de sens.