


-Sans mon ombre
-Edmonde Permingeat
-Éditions de l'Archipel, distribué par LP Conseils
-435 pages
-Thriller, gémellité
*Merci aux Éditions l’Archipel ainsi que LP Conseil de m’avoir donné l’opportunité de lire ce livre en service de presse*
Le commentaire de Cathy :
Des jumelles si identiques physiquement, mais avec une vie tellement différente, Alice est professeure de philosophie et elle en a un peu marre de cet état de fait, Célia elle, est mariée avec deux enfants et semble avoir une vie de rêve, lorsque cette dernière va décéder sa sœur va prendre sa place, à son tour d'avoir une vie dorée. Alice était loin de s'imaginer ce qu'elle allait découvrir, les apparences sont souvent trompeuses et elle va en faire l'amère expérience. Je viens de passer un très bon moment de lecture, dès les premières pages, on rentre dans le vif du sujet, j'ai aimé suivre Alice qui doit se fondre dans la vie de sa sœur, cela a été jouissif de la suivre dans toutes les différentes situations auxquelles elle doit faire face, son mari qui m'a super énervé, la belle-mère que j'aurais voulu étrangler et les petites filles si mignonnes. J'ai aimé l'humour d'Alice, son franc-parler et sa façon de se comporter au vu des événements qu'elle découvre. Le style de l'auteure m'a beaucoup plu, j'ai été captivé par l'histoire qu'elle me racontait, j'ai été prise par l'intrigue tout du long, je n'ai pas vu le temps passer. Je vous recommande ce thriller.
Résumé :
Dangereux reflets
Alice a tué Célia, sa jumelle.
Son reflet, un alter ego inversé dont elle enviait la vie de rêve. Alors que, célibataire, elle doit gagner sa vie en enseignant la philosophie, sa jumelle, épouse et mère comblée, mène l'existence oisive des riches, dans le luxe et un magnifique cadre de vie au bord de la mer. Mais la mort de Célia va permettre à Alice de prendre sa place.
Du moins le croit-elle. Car au "pays des merveilles", ce n'est pas le bonheur mais le désenchantement qui l'attend.
La vie d'Alice de l'autre côté du miroir va tourner au cauchemar... jusqu'à lui faire réaliser, mais un peu tard, que le beau miroir était celui des alouettes...