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-C'est à la fin du bal qu'on paie les musiciennes
-Carole Arribat
-Librinova
-128 pages
-Thriller, hôpital, perte de repère
*Merci à Librinova de m'avoir donné l’opportunité de lire ce livre en lecture de presse*
Le commentaire de Cathy :
Un homme se réveille sur un lit d'hôpital, il n'a aucun souvenir, il a perdu tous ses repères, lorsqu'il sombre dans l'inconscience, il revit des moments de sa vie passé. Que lui est-il arrivé ? J'ai trouvé la lecture de ce roman un peu particulière, au fil des pages je me suis posé beaucoup de questions concernant cet homme avec qui personne n'a l'air d'interagir, il est seul avec des moments où il se réveille et d'autres ou il partage avec les lecteurs ses souvenirs. Cette histoire m'a beaucoup intriguée et j'ai adoré la fin que je n'ai pas du tout vu arriver. La plume et le style de l'auteure m'ont beaucoup plu, elle a réussi à me surprendre avec son scénario des plus machiavélique et inattendu. J'ai particulièrement apprécié de découvrir l'histoire de cet homme à travers ses souvenirs, j'ai adoré le détester pour ce qu'il a fait, mais je n'ai pu m'empêcher d'avoir pitié de lui quand même.
Résumé :
Imaginez-vous sur un lit d'hôpital. Totalement immobile. La connexion avec le monde extérieur est inexistante. Que faites-vous ici ? Comment avez-vous atterri dans cette chambre ? Aucun souvenir ! Comme seul repère : une heure, ou plutôt des heures qui reviennent inlassablement, comme des signaux à votre inconscient, impossibles à déchiffrer. Quels seraient vos souvenirs ? À quoi penseriez vous en premier ? À quoi se raccrocher quand plus rien ne semble avoir de sens ? Et si la roue avait tourné et que votre passé se jouait de vous ?