*LES AMANTS DE LA LUMIÈRE*T1: Le bûcher des maudits* Bertrand Borie* Évidence Éditions* par Cathy Le Gall*

-Les amants de la lumière
-T1: le bûcher des maudits 
-Borie Bertrand 
-Évidence éditions, collection Imaginaire
-464 pages 
-Fantasy, fantastique, légendes 

*Merci à Évidence éditions de m'avoir donné l’opportunité de lire ce livre en lecture de presse*

*Évidence Éditions*

*Amazon FR*

*Amazon CA*

Le commentaire de Cathy : 
Lorsque je commence un roman de ce genre, j'aime prendre le temps de bien m'imprégner de l'environnement dans lequel l'auteur va me plonger, ce dernier nous propose, au début du roman, un genre de glossaire ce qui permet de situer certains personnages. Une apocalypse a eu lieu, l'humanité se reconstruit petit à petit, certains à l'abri de leurs forteresses et d'autres dans les forêts. Son royaume détruit, le prince Farkhar accompagné par Okstrogh, un renégat, va partir en quête de sa destinée. Après un parcours semé d'embûches, il va arriver dans le royaume du roi Antrégor et faire la connaissance de sa magnifique fille Gwenaline. Silfadred a l'air de tenir le roi et sa fille sous influence, quel destin a prévu le mage diabolique pour ce royaume ? J'ai adoré ce roman, j'ai beaucoup aimé suivre les différentes aventures et épreuves auxquels doit faire face Farkhar, ce personnage m'a beaucoup plu, après ce premier tome je me suis déjà beaucoup attaché à lui ainsi qu'à Gwenaline. Le style de l'auteur est très bon, digne des plus grands auteurs du genre, l'univers est suffisamment bien décrit pour nous donner l'impression d'y être. Une fin de roman qui m'a donné envie de crier de frustration, c'est une façon un peu sadique de finir un premier tome de cette manière, j'ai vraiment hâte de découvrir la suite. 

Résumé : 
Après l’Apocalypse Suprême, l’humanité se reconstruisait sous le règne bienveillant du dieu Ischeltroëm.

Mais le mage Silfadred a anéanti la puissance de ce dernier pour asseoir le pouvoir du dieu maléfique Thanatros et le sien sur une humanité désormais dégénérée. Seuls ont subsisté quelques petits royaumes isolés dont il a banni toute capacité de rêve et de fantaisie, et qu’il s’efforce de détruire l’un après l’autre.

Dans l’un d’eux, le jeune prince Farkhar peut être comparé à un poète, individu d’exception voué à être sa proie. Son royaume détruit, il parvient, au prix d’aventures dramatiques, dans celui du roi Antrégor, dont la fille Gwenaline, est promise à un souverain voisin, Viridius. En s’éprenant d’elle, il offre à Silfadred l’occasion de déclencher le cataclysme fatal dont celui-ci rêvait.

Bientôt, tandis que Viridius, humilié par l’abandon de Gwenaline, prépare une guerre sans merci contre Antrégor, le piège du mage se referme sur les amants maudits.

À travers la peinture d’un univers médiéval imaginaire proche de l’Heroic Fantasy, les AMANTS DE LA LUMIÈRE rend un vibrant hommage à la littérature épique arthurienne en jetant un regard indirect sur un monde gangrené par le matérialisme : le nôtre.