

-London requiem
-Luc Tallieu
-Les Éditions du 38, collection 38 rue du Polar, 2019
-149 pages
-Thriller historique, Jack L’Éventreur, Londres, XIXe siècle
*Je tiens à remercier les Éditions du 38 pour ce service de presse*
Le commentaire de Martine :
Dans ce roman, on se retrouve au XIXe siècle, nous allons suivre les traces d’un agresseur qui sévit à Londres. Ce tueur traque des femmes et des hommes partout dans la rue, Scotland Yard n’arrive pas à arrêter les crimes avant qu’il ne commette l’irréparable. Comment l’inspecteur Hubbard va-t-il réussir à retracer la trace de ce meurtrier ? Tout son passé d’enquêteur revient le hanter, il veut à tout prix que l’on retrouve ce tueur qui sévit depuis presque deux décennies.
Un thriller qui tient le lecteur en haleine du début à la fin, la plume de Luc Tallieu est incisive, directe et concise, aucun temps mort. Un voyage dans le temps qui nous rappelle le temps de cet égorgeur de Londres qui a sévi et fait plusieurs victimes, mais selon Hubbard, un autre tueur se profile et c’est dans la poursuite pour découvrir la vérité et arrêter ce sadique, que l’histoire nous interpelle sur toute la violence de ces actes. Un bon thriller qui mêle : histoire, suspense, horreur et enquête policière, quoi demander de mieux.
Une lecture que je recommande aux amateurs de romans qui bousculent les pré-établis de l’Histoire et jouent avec les nerfs du lecteur.
Résumé :
Londres vendredi 9 novembre 1888.
Jack l’éventreur.
Ce nom occupe tous les esprits. Une cinquième victime vient d’être retrouvée. Scotland Yard est incapable de retrouver l’agresseur. Son identité même est un mystère. Le Police Gazette commente l’enquête tant bien que mal, en un feuilleton haletant.
En lisant son journal, le passé de l’inspecteur Hubbard lui revient en plein visage comme une averse glacée, violente et paralysante. Le vieil homme se moque bien de l’égorgeur de Whitechapel. Le tueur qui obsède ses pensées ne fait désormais plus les gros titres, depuis 19 ans ! Mais 19 ans, c’est peu.
Une vie même ne peut suffire à oublier John WYCLIFFE Le Majordome aux gants rouges.