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-Ragnarök - Le cantique du chaos 

-Athanor – Le cantique des Mondes 
-Freddy Woets 
-Éditions du 38, collection du Fou

-Romans fantastiques

 

*LES ÉDITIONS DU 38*
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*Je tiens à remercier Les Éditions du 38 pour ce service de presse*

 

-Ragnarök - Le cantique du chaos 

-478 pages 
-Roman fantastique, onirique, fin du monde. 

 

Le commentaire de Martine : 
Un roman qui demande de prendre le temps, les personnages se découvrant peu à peu. Une histoire remplie de péripéties de tous genres. René Descartes, le protagoniste est épuisé de sa tâche de professeur de français, il est l’auteur d’un livre à succès, ce qui lui permet de prendre la vie comme elle vient. Puis la rencontre à l’improviste avec Élia cette adolescente qui vient tout bouleverser dans la vie de René Descartes. Élia et René ne sont pas des étrangers, est-ce que c’est possible que deux êtres se connaissent depuis des milliers d’années ? 
Comment vont-ils découvrir le passé qui leur a permis de se connaître ? Et pourquoi ? 
Freddy Woets a une plume qui se démarque par la composition de ses courtes phrases, ce qui permet d’être une lecture, facile à lire. Le genre de récit onirique aussi est une marque de l’auteur. Ses personnages sont lents et s’introduisent lentement dans l’histoire et l’intrigue. Une bonne lecture, qui introduit dans la vision fantastique, des prémices de la vie sur la Terre. 


Résumé : 
Il s'appelle René Descartes, il est prof de français. Vingt ans de tableau noir, de ras-le-bol. Il écrit un livre qui fait succès et se retire quelque part entre labours et forêts. Une nuit de tempête, quelque chose heurte violemment sa porte. Une adolescente commotionnée. Élia, les yeux pers, les cheveux bleus, slim, santiags et Perfecto. Elle doit porter une lettre à un certain Monsieur Noirtier, au 13 de la rue Coq-Héron à Paris. Comme dans Le Comte de Montecristo... René Descartes ne sait que penser. Il s'ennuie, l'accompagne. Ce que René soupçonne : Élia est une fugueuse un rien allumée. Ce que René ignore : Élia et lui se connaissent depuis trente mille ans. Et si sur Terre, il n'y avait pas que des Humains ? Humain, humanité, humus...

 

 

-Athanor – Le cantique des Mondes 
-423 pages 
-Roman fantastique, la Mort, la loi gravitationnelle.

 

Le commentaire de Martine : 
Nous continuons le périple dans la vie de René Descartes, mais René est à la fin de sa vie et ne sait pas que la Mort les guette de près. René n’est pas prêt à rendre les armes, il va donc commencer à négocier avec La Mort, Lucifer et ses amis afin de se préparer et décider du moment idéal. 
Est-ce que la Mort est capable d’expliquer ce qui se passe de l’autre côté ? Que nous arrive-t-il après le dernier souffle? 
Est-il possible que la Mort ne soit pas au courant de tout ce qui se passe après, et où allons-nous ?
Freddy Woets écrit encore une fois un roman onirique, mais avec une vision réaliste de l’énergie positive et noire qui règne sur les humains. Une incision dans la science de la physique qui va soulever plusieurs questionnements et théories qui pourraient avoir un impact sur la vie et la Terre. Tout ce qui permet des observations illimitées de l’impact de l’humain sur la vie. Une bonne lecture qui nous transporte dans les méandres de la réalité des choses et des événements que la vie apporte, je vous recommande de lire Ragnarök avant de lire celui-ci. Comme chaque lecture de Freddy Woets, mon attention est captivée, le déroulement permet de mieux saisir l’immensité de l’imagination de Freddy Woets. 

Résumé : 
Athanor, le creuset de l'alchimiste. La Mort, née du vide, connaît le premier nombre et le dernier. Elle sait que l'énergie noire étire l'univers de façon exponentielle, qu'il va se déchirer et qu'alors, elle prononcera le dernier nombre. Or, la Mort ne veut pas mourir... Un univers au bord de la déchirure frôle le nôtre... Si un plus un font deux, un et un font trois... Et si ces univers se fondaient en un troisième ? Plus grand, plus fort ? Il faudrait y aller. Mais la Mort ne peut nous quitter... Un soir de décembre, au Jardin des Tuileries, elle rejoint un sculpteur dans une allée déserte. Son heure est proche, René ne le sait pas, dans le fond, il s'en fiche. La Mort l'aborde et lui propose une tasse chocolat Chez Angélina, non loin, au sein du velours et des dorures colchique. Entre deux gorgées exquises, elle lui annonce que son heure est venue, à moins qu'il n'accepte un marché... René se dit que mourir Chez Angelina gâcherait le goûter de tous ces m'as-tu-vu qui l'entourent, ce qui le tente sérieusement, mais la curiosité l'emporte : De quoi s'agit-il ? Fondre deux univers en un, le nôtre et celui qui nous frôle dans l'espoir que leur union les sauve. Il vous faudra toute votre raison, car j'ignore ce que vous trouverez de l'Autre Côté. Comment partirai-je ? Vous vous mettrez devant le miroir de votre salle de bain et plongerez les yeux dans les vôtres jusqu'à ce que les larmes vous viennent. Il la regarde et se rend compte qu'il ne peut la voir. Il n'existe aucun mot pour la décrire. Elle pose la main sur la sienne, se lève et s'en va. La Mort sait-elle que les univers sont créés par d'inconcevables Entités en harmonie avec le Néant ? Ces Entités enfantent les univers, le Néant les annihile quand ils arrivent à maturité. Les Entités, le Néant laisseront-ils se fondre deux univers en un et bouleverser l'ordre des choses, établi de toute éternité ? Cet ordre machinal a-t-il un sens ? Et René ? Il arrive que la loi de gravitation universelle élargisse son énoncé, que deux coeurs s'attirent en raison inversement proportionnelle au carré de leur distance, quels que soient les univers. À quel prix ?

Tag(s) : #FANTASTIQUE, #ONIRIQUE, #FIN DU MONDE, #MORT, #LOI GRAVITATIONNELLE