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-Chroniques de Capitachouane
-Jean Bacon
-Lévesque Éditeur, collection Réverbation, 2019
-216 pages
-Roman historique, camp forestier, forêts, histoire du Québec.


*Je tiens à remercier Lévesque Éditeur et Dola communication pour ce service de presse*

*Lévesque Éditeur*

*Dola Communications*

Le commentaire de Martine : COUP DE COEUR!
Un excellent roman pour une première, écrite par Jean Bacon, je vous dis que ma lecture était super-intéressante. Un récit qui nous transporte dans les années 60 au Québec, dans un camp de bûcherons de Capitachouane. C’est le récit de tous les personnages qui ont bûché dans la vie, qui sont des personnes qui sont éprouvées. L’environnement dans un territoire boisé où se retrouve Rachel, une mère, avec son fils.
Ariel ce jeune garçon qui souffre d’un manque de figure paternelle, ce personnage d’Ariel m’a vraiment conquise et prise par les émotions, ce petit qui cherche à passer ce manque en faisant autre chose qui serait constructive, il va se mettre à écrire pour s’évader de la douleur qu’il ressent.
Cette lecture fut un gros coup de cœur pour les personnages, la passion qui se dégage des mots de Jean Bacon et du lieu, où il fait avec l’histoire des camps forestiers du Québec. Les camps ont marqué l’histoire des familles, des hommes, des compagnies forestières du Québec, c’est une époque marquante.
La plume de John Bacon m’a aussi conquise, surtout par sa poésie, il manie bien les mots pour nous raconter son histoire de Capitachouane. J’ai ressenti une nostalgie et une joie, c’est une lecture qui joue dans des sentiments ambigus continuellement, ce qui fait que cette lecture m’a vraiment marquée. Je vous recommande de lire les Chroniques de Capitachouane, un pan de notre passé québécois.


Résumé :
À l’été 1958, dans le camp forestier de Capitachouane, des hommes et des femmes mènent une existence ardue, placée sous le signe de la démesure, à l’image du vaste territoire de forêts qu’ils sont chargés d’abattre. Le destin tantôt comique, tantôt tragique de ces personnages pittoresques témoigne admirablement de l’avant-Révolution tranquille.
À Capitachouane, on apprend à connaître Rachel, mère aimante et résignée, Potawatomi, la vieille Algonquine qui hume l’avenir à même le vent, la famille Carreau, aux innombrables rejetons, le redoutable « homme qui ramasse des souris », sans compter ceux et celles qui défilent à la cookery pour se nourrir de porc et de soupe au chou.
Ariel, un jeune garçon de huit ans souffrant de l’absence du père et de la perte d’un être cher, y découvre la fragilité des êtres et leur soif d’amour qui ne semble rimer à rien. C’est néanmoins dans ce contexte que naît sa passion pour l’écriture, art qui deviendra sa planche de salut.
Chroniques de Capitachouane est un voyage dans le temps qui raconte au quotidien un pan peu connu de l’histoire du Québec, celui des camps de bûcherons. Ce portrait d’une époque révolue entremêle vérité et fiction, prose et poésie, mort et vie.

Tag(s) : #ROMAN HISTORIQUE, #CAMP FORESTIER, #FORÊTS, #HISTOIRE DU QUÉBEC, #QUÉBÉCOIS, #COUP DE COEUR, #MARTINE L