-Passeuse d’âmes en dilettante
-Ludydechine
-Éditions Vérone
-482 pages
-Récit, ésotérisme, spirituel, humour
*Merci à Marika Daurès Communications et aux Éditions Vérone pour m’avoir permis de lire ce livre en service de presse*
Le commentaire de Carole :
C’est l’histoire de Rustine qui vient d’une famille dysfonctionnelle, parents divorcés, père n’ayant pas un travail régulier et quand il en a un, on doute de sa légalité. Rustine découvre vers l’âge de 17 ans, qu’elle a un don, celui de parler aux personnes décédées. On va suivre la vie de Rustine tout au long de l’histoire. Mariée avec un policier et mère de deux enfants, elle pratique le métier d’hôtesse de l’air. Rustine est tout un personnage, elle nous fait sourire, elle nous fait réfléchir l’auteur choisi bien la façon de la décrire au point où on la voudrait parfois comme amie. Par contre sa vie n’est pas très drôle, un peu diversifié, mais quand elle nous la raconte, on sent toujours de l’ennui. Elle se réveille toujours vers 2 h 56 et nous raconte ce qui la tourmente. Son don de passeuse d’âmes, elle l’utilise pour transmettre des messages aux personnes vivantes, mais c’est toujours sans conséquences ce qui enlève un peu de punch à l’histoire. Donc, tout au long de l’histoire, on va côtoyer les moments quotidiens de Rustine mêlée à ses moments ésotériques. Je n’ai pas vraiment accroché à l’histoire sans pour autant dire que je n’ai pas aimé, c’est plutôt que j’ai trouvé quelques longueurs et un peu redondant de vivre le burn-out de Rustine, j'aurais aimé un peu plus d'action.
Résumé :
Rustine, l’héroïne, hôtesse de l’air, mariée, mère de deux enfants, magnétiseuse et « passeuse d’âmes » à ses heures perdues, nous entraîne dans une intrigue désopilante où elle jongle avec les tracas de la vie quotidienne et son don spirituel.
2 h 56, 2 h 58, 2 h 59… Elle ne dort plus, elle vole, elle court, elle paye toujours, et encore…
Son compte en banque est à zéro ; son métier, sa famille et ces signes venus d’ailleurs ne la lâchent pas…