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-Les cinq saisons de l’Avenir

-Tome 3 : Le printemps
-Michel Bélil
-Les Éditions de l’Apothéose, 2019
-320 pages
-Roman policier, suspense, enquête


*Je tiens à remercier Les Éditions de l’Apothéose et DOLA Communication pour ce service de presse*

*Les Éditions de l'Apothéose*

*Dola Communications*

*Dominique Bélil, auteur(FB)*

Le commentaire de Martine :
J’ai découvert que Michel Bélil est un auteur qui a fait sa marque dans le roman fantastique et de science-fiction. Pour ma part, je le découvre avec ce roman. Voici qu’il présente le troisième tome de sa saga d’enquête et d’anticipation.
Dans la série Les cinq saisons de l’Avenir, on se demande ce qui arriverait si l’Estrie vivrait une apocalypse aujourd’hui, c’est pourquoi, il faut beaucoup d’imagination. Au cœur de la Cité-État comme L’Avenir, les protagonistes devront démêler l’affaire d’un meurtre dont les victimes sont les deux chefs de bandes qui sont des rivales. Les problèmes que doit faire face le métis O'Bom sont multiples et sérieux, il va devoir se mettre en danger, changer sa routine et faire preuve d’ouverture et d’éveil pour démystifier les mystères de toute cette histoire.
Dans les cinq saisons de L’Avenir, Michel Bélil poursuit sa création d’un monde dysfonctionnel par les luttes de pouvoir, la violence et la corruption. Sa plume est très inspirante, vivante et actuelle. C’est un suspense qui augmente tout au long de la lecture. Il a créé une ambiance glauque, dans un décor post-apocalyptique tout en étant une société qui est organisée et pour qui, il reste encore un espoir de survivre. C’est vraiment une belle découverte de cet auteur, je vais lire les précédents, c’est certain, je vous le conseille pour tous les amateurs de romans de science-fiction et d’anticipation.


Résumé :
Qui ne faisait pas qu’écrire sur les murs
Dans la mi-cinquantaine, le métis Joachim O’Bomsawin décroche un poste de directeur des travaux publics à L’Avenir, une cité-État qui ne roule pas sur l’or – sa monnaie est méprisée par les autres cités regroupées dans l’amicale. Ce gouvernorat doit aussi faire face à des cohortes de réfugiés provenant des Zones tribales du sud profond et qui se réfugient dans le ghetto, une sorte de poudrière en devenir.
Très tôt, O’Bom doit cumuler d’autres postes vacants comme ceux de directeur des ressources informatiques, d’adjoint au directeur général, de responsable des plaintes et, surtout, de chef de police par intérim, puisque le tenant en titre est mort dans des circonstances nébuleuses.
C’est le printemps. Avec le retour des premières chaleurs, une auto-patrouille de la police découvre deux cadavres dans un stationnement. Il s’agit des têtes dirigeantes des deux gangs rivaux de la cité-État de L’Avenir. Le chef de police par intérim, O’Bom, cherche l’erreur.
Débordé de travail par cette nouvelle enquête, O’Bom trouve quand même l’énergie pour se lancer dans la rénovation de l’immeuble où il loge. Il ne se doute pas de ce qui l’attend.
Qui ne faisait pas qu’écrire sur les murs est un polar à forte teneur sociale : la révolte gronde dans le ghetto et des luttes de pouvoir déchirent les cités-États. Servi par une bonne dose d’humour involontaire, ce roman met en scène des personnages attachants. Tous les ingrédients se trouvent réunis pour faire de ce roman hybride un thriller dont on se souviendra longtemps.

Tag(s) : #POLICIER, #SUSPENSE, #ENQUÊTE