-Le goût de l'élégance
-Johanne Seymour
-Libre Expression
-168 pages
-Roman, fable, bien-être, livres, amour, québécois
*Merci à Libre Expression ainsi qu'à Véronique Déry pour ce service de presse*
Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!
Un tout petit livre, mais qui a résulté en un gros coup de cœur.
Je connais Johanne Seymour pour l'avoir lu à maintes reprises, mais pour cette lecture, un style complètement différent que les polars qu'elle nous a offert par le passé, et bien, je dois dire que ça été pour moi une excellente et belle lecture.
Dès le départ, on peut ressentir toute la détresse de Simone, elle est fortement palpable à travers les mots de l'auteure. Avec le temps, Simone s'est isolée, pas d'amis, pas d'amour non plus, elle est seule avec elle-même et ça devient lourd de vivre de cette façon. On sent presque à travers ses mots, qu'elle pense même à en finir et ça fait mal, ça fait mal à notre cœur de ressentir ces sentiments et émotions.
Suite à un congédiement pour un travail qu'elle n'aimait pas vraiment, elle se retrouve à la croisée des chemins, une petite annonce dans une vitrine de librairie, viendra ouvrir une brèche dans ce mur de noirceur qui l'entoure.
À travers le quotidien, les livres, la librairie, elle va reprendre goût à la vie et apercevoir de nouveau la lumière, le soleil, le bonheur.
Une fable qui fait du bien au cœur, qui nous fait sentir que tout n'est jamais aussi noir que ça semble l'être.
Je ne peux que vous conseiller cette lecture, et encore davantage pendant cette période qui affecte tout le monde mondialement. C'est une bouffée d'espoir, c'est un arc-en-ciel de bonheur que nous offre Johanne Seymour, à travers ce personnage de Simone Vendredi, une femme que j'ai trouvé attachante et belle. Tout ça à travers des mots empreints d'une poésie qui coule sur nous avec plein de douceur.
Résumé :
« Un jour, tu te lèves, et ton destin prend une tournure inattendue. Ta petite vie ordinaire est soudain plongée au cœur d'un tourbillon dont la beauté insoupçonnable et la puissance amoureuse t'étaient étrangères.
Tu n'es plus seule.
Ton île, que tu croyais déserte, est peuplée. »