-Les Enquête du Commandant Gabriel Gerfaut
-Tome 9: Le sang des douze vierges
-Gilles Milo-Vacéri
-Les éditions du 38, 2020
-481 pages
-Roman policier, saga, tueur en série, enquêtes, crime, meurtre
*Je tiens à remercier les Éditions du 38 pour ce service de presse*
Le commentaire de Martine : COUP DE COEUR!
Gilles Milo-Vacéri y est allé fort avec cette neuvième enquête du Commandant Gerfaut, j’adore ce personnage, toujours en train d’enquêter sur des crimes de plus en plus sordides et atroces. Une nouvelle aventure qui glace le sang, une ambiance où règne le mal, on entre dans un gros suspense du début jusqu’à la fin. Gilles Milo-Vacéri a un talent pour créer des intrigues qui nous hantent.
Le Commandant Gabriel Gerfaut sera confronté à une série de meurtres horribles d’adolescentes, ce qui l'exaspère, c'est tout ce qu'il arrive à commettre sans arriver à mettre ce criminel sous les verrous. Ce meurtrier a du front, il le prévient, que douze vierges seront tuées, personne ne peut accepter, et Gabriel Gerfault encore moins, il n'accepte pas que de jeunes innocentes soient assassinées par un malade.
Ce roman mérite de placer Gilles Milo-Vacéri sur la table des grands maîtres des romans policiers. À chaque enquête, on nous tient en haleine et nous sommes face aux personnalités complexes des criminels. C'est pour ma part, un énorme coup de cœur pour la plume de l'auteur et l'apogée du suspense qui ne permet pas de prédire le dénouement de l'intrigue.
Résumé :
À Amiens, le corps mutilé d'une adolescente est découvert, accompagné d'un message exigeant que le commandant Gerfaut mène l'enquête personnellement. Celui-ci se rend donc de toute urgence sur les lieux. Le tueur publie alors une lettre ouverte dans laquelle il annonce qu'il va sacrifier douze vierges. Pour chacune, il écrira une énigme indiquant où sera déposée la prochaine victime. Gerfaut comprend qu'il affronte un dangereux illuminé. Furieux, il se jette dans la bataille, bien décidé à stopper la sinistre série. Pourtant, jour après jour, les cadavres s'entassent et l'assassin court toujours...