

-Ecce Homo
-Ingrid Aubry
-Éditions Librinova
-652 pages
-Science-fiction, dystopie, anticipation, intelligence artificielle, futuriste
*Je tiens à remercier l’auteure Ingrid Aubry pour ce service de presse*
Le commentaire de Martine :
Un roman de plus de 600 pages, qui se lit très bien. L’histoire est captivante, elle se déroule dans le futur, avec des robots qui partagent beaucoup de leur temps avec des humains, nous sommes en 2050, où les robots humanoïdes habitent parmi nous. Les robots sont de plus en plus présents, ce qui permet à tous d’avoir une vie plus paisible consacrée aux loisirs et aux plaisirs.
Je suis tout de suite entrée en immersion dans ce récit, que j’ai eu de la difficulté à quitter des yeux, tellement l’histoire est intéressante, intelligente et captivante. Ce roman est passionnant, il faut bien être concentré puisqu’il y a beaucoup de personnages, ce qui peut devenir mélangeant pour certains lecteurs, moi, j’ai pris des notes, c’est ce qui m’a aidé à ne pas perdre le fil.
J’ai adoré le personnage d'Alice, avec toutes ses complexités, les personnages secondaires sont moins marquants qu’elle, ils permettent d'en découvrir un peu plus sur la vie d’Alice, son enfance, sa jeunesse, on est au cœur de la noblesse avec ses privilèges, ses richesses, ses trésors, etc. Mais la question que m’a provoquée cette lecture, cela concerne la place que les humains ont laissée à l’intelligence artificielle, est-ce que cela peut devenir néfaste pour les humains ?
C’est un bon roman écrit d’une belle plume, qui a une bonne intrigue et qui permet de lire une bonne science-fiction, du genre dystopie, n’hésitez pas et lisez-le.
Résumé :
Février 2052, un avion supposé infaillible s’écrase dans les Alpes, tuant Alice de Boisfort, la patronne d’une des plus grosses sociétés de robotique. Deux ans auparavant, Mark, son mari, équipe une androïde d’un programme criminel afin de s’emparer d’un marché juteux...
Dans ce monde trop parfait, on ne craint plus vraiment la guerre ni le terrorisme et le travail est devenu optionnel depuis que la productivité et la prospérité sont assurées par de sages robots. Ces derniers se retrouvent d’ailleurs partout : dans les restaurants, les bars, les entreprises, même à la maison... Mais l’intelligence artificielle ne risque-t-elle pas de devenir trop forte pour l’homme ? À moins que ce ne soit l’homme qui reste définitivement trop faible.
Il ne s’agit pas d’un roman sur les robots, c’est d’abord une aventure humaine faite d’émotions, de passions : on vit, souffre parfois ou intrigue, mais surtout on aime et s’amuse. Et les protagonistes sont pris, malgré eux, dans un engrenage machiavélique, victimes de leur génie, de leur fragilité ou encore, de leur part d’ombre...