

-La fureur douce
-Léa Braun
-Auto-édition
-234 pages
-Roman, deuil, maladie, magie, psychologique, romance,
quête de soi
*Merci à Léa Braun pour m'avoir donné l'opportunité de lire ce très bon roman en service de presse*
Le commentaire de Nathalie :
Léa jeune femme seule qui ne cherche qu'à vivre de sa passion, oublier sa relation avec Alexandre, un homme toxique, qui ne fait que la hanter. Pour sans sortir, elle écrit et elle joue. Un jour, Jacqueline sa gérante et presque mère, lui trouve une place de figurante dans un film. À partir de ce jour, sa vie changera complètement. Elle fera la rencontre de Sandra avec qui elle vivra l'aventure. Car aventure, il y aura. Au deuxième tournage, quelque temps plus tard, elle retournera au pays de son arrière-grand-mère Salka. Elle fera la rencontre de Zvi qui deviendra l'homme de sa vie et voyagera à travers l'Europe. Pour calmer toute cette angoisse, elle correspond avec son amie d'enfance Virginie, grande voyageuse. Mais cette fois-ci, Virginie à besoin d'elle. Leur lien d'amitié sera encore plus renforcé à cause d'une nouvelle difficilement acceptable. Léa devra s'entourer de son monde, mais à quel prix ? Est-ce que l'amour peut effacer ses passions et sa liberté. Pourquoi, malgré les années, ne peut-elle pas faire ce qui la passionne et en même temps vivre avec ceux qu'elle aime ? Pourquoi le nuage noir de la peine et des malheurs la suit-elle toujours ? Où sera-t-elle vraiment heureuse ?
Une belle écriture, fluide avec une touche de poésie. On voyage à travers sa plume dans le monde de Léa, d'Israël, un monde d'amitié, de promesse et d'espoir.
Résumé :
Le roman retrace la vie d'une femme qui se cherche, qui essaie d'avancer sans cesse rattrapée par son passé et les blessures qu'il lui a causées. Les expériences de la vie et le hasard des rencontres vont la conduire peu à peu à entrevoir la lumière.
La profondeur de ce personnage principal, ses émotions et réactions face aux aléas de la vie vont amener le lecteur au questionnement:
L'incompréhension est-elle intérieure ou est-elle un produit créé par la société ?
La codification des comportements et la mise en avant de certaines valeurs ne sont-elles pas des marques d'intolérance?