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-Hunter s'est laissé couler

-Judy Quinn

-Éditions Typo

-160 pages

-Roman historique, guerre, destin, correspondance

 

*Merci aux Éditions Typo Roman spécialement à Marie-Josée Martel pour ce service de presse*

 

*Éditions Typo*

Le commentaire de Lynda :

Ce tout petit livre va nous raconter Hunter. Quand je dis on, c'est tout simplement que c'est à travers les mots des gens qui ont connus Hunter que nous allons apprendre sur celui-ci.
C'est la guerre et Hunter, c'est ce jeune homme embarqué sur un navire qui part pour la guerre, qui à destination pourrait, à coup sûr, rencontré la mort.
C'est tout d'abord à travers les mots et les pensées de Hunter que l'on commence cette histoire, Nanette qu'il a laissé là-bas, la cale du bateau, les conditions presque inhumaines dans lesquelles il a vécu cette période.
Et puis les correspondances qui nous éclairent un peu plus, à travers celles-ci, nous allons connaître plus profondément Hunter, ce qu'il était, ce qu'il voulait et ne voulait pas.
Je ne dirai pas que c'est un roman facile à lire, il faut se concentrer pour savoir qui parle et quel est le lien avec Hunter. 
Mais dans l'ensemble un petit roman que j'ai aimé lire. L'histoire de Hunter est basée sur de la correspondance que l'auteure a retrouvée, une correspondance entre son grand-père, soldat et sa grand-mère. Une plume, qui décrit d'une façon authentique un décor, des conditions et la vie d'un simple soldat, qui si ça n'avait été des autres, aurait plongé dans l'oubli. Elle nous fait vivre de façon très réaliste l'enfer d'Hunter sur ce bateau.
Sur un fond historique, une histoire pas longue à lire, mais qui vous marquera d'une façon ou d'une autre !

 

 

 

Résumé :

Hunter est mort. Pour ces hommes qui ont vu leur destin lié au sien durant la guerre, il sera passé comme une ombre. Comment, alors, le raconter? « Cher Hunter, tu te souviens, Nanette venait d'arriver de son salon de coiffure, un arbre est tombé à quelques mètres de nous, et on s'est regardés, Nanette, toi et moi, comme si était né en même temps un grand malheur, et c'est là que je t'ai dit que si tu y allais j'irais moi aussi et tu as seulement haussé les épaules, pendant que Nanette me fixait d'un air horrifié, un malheur est tombé, disaient ses yeux, et les tiens ne disaient rien d'autre qu'on est tous seuls de toute façon. »

Tag(s) : #ROMAN HISTORIQUE, #GUERRE, #DESTIN, #CORRESPONDANCE