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-Le défi de la fragilité
-Autour des essais de François Paré

-Collectif, sous la direction de Tara Collington, Élise Lepage et Guy Poirier

-Éditions David, collection Voix savantes, 2020

-400 pages

-Essai, réflexion, collectif, témoignage, culture, langue, fragilité

 

*Je tiens à remercier les Éditions David pour ce service de presse*

*Les Éditions David*

Le commentaire de Martine :

Cet ouvrage est le résultat d’un collectif, qui vient réfléchir autour des théories de la fragilité et de la pensée de François Paré. Ils vont amener le lecteur à comprendre toute la grandeur des études de François Paré, en apportant dans des articles très distincts, leurs réflexions, leurs compréhensions et leurs intérêts pour l’écrit de François Paré. À partir de l’essai Littératures de l’exiguïté paru en 1992, chacun offre une proposition qui dégage la différence, la diversité, la variété et le multiculturalisme ou le multilinguisme. 
Une lecture divertissante, qui nous permet de mieux comprendre la pensée de François Paré et aussi de découvrir différents chercheurs du monde entier, issus de cultures variées. Cet ouvrage est axé sur les minorités du Canada, vu par des spécialistes, des chercheurs, des enseignements provenant de différentes universités canadiennes et étrangères. C’est un collectif très riche, tout en édifiant un portrait honnête et actuel de la pensée de François Paré.

 

Résumé :

Le défi de la fragilité se veut un hommage et un témoignage à l’oeuvre critique de François Paré qui a influencé plusieurs générations de chercheurs impliqués dans les études des minorités au Canada et à l’étranger. Les articles, signés tant par des spécialistes reconnus que par des chercheurs émergents, témoignent de l’intérêt continu et toujours très vif que suscitent les propositions de l’auteur des Littératures de l’exiguïté (1992, prix du Gouverneur général). En prolongeant ses réflexions et en les mettant à l’essai sur des corpus de la Renaissance, de la Nouvelle-France, de l’Acadie, du Québec, de l’Ontario, des Caraïbes, de l’Afrique subsaharienne, ou encore de la littérature kurde, les auteurs participant à ce collectif démontrent la productivité des concepts « paréens », ainsi que la diversité de leurs applications.

Ont contribué à cet ouvrage :
Gerardo Acerenza (Università degli Studi di Trento), Dersim Barwari-Kamil (Université McMaster), Ariane Brun del Re (Université de Montréal), Philip Collington (Niagara University), Tara Collington (Université de Waterloo), Andréanne R. Gagné (Université du Québec à Chicoutimi), Lucie Hotte (Université d’Ottawa), Laté Lawson-Hellu (University of Western Ontario), Élise Lepage (Université de Waterloo),
Johanne Melançon (Université Laurentienne), Francois Paré (Université de Waterloo), Marie-Christine Pioffet (Université York), Guy Poirier (Université de Waterloo), Pascal Riendeau (Université de Toronto), Pamela V. Sing (Université de l’Alberta), Jimmy Thibeault (Université Sainte-Anne), Emmanuelle Tremblay (Université de Moncton).

Tag(s) : #ESSAI, #RÉFLEXION, #COLLECTIF, #TÉMOIGNAGES, #CULTURE, #LANGUE, #FRAGILITÉ, #QUÉBÉCOIS, #AUTEURS CANADIENS