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-Le Maure m'a tuer
-Marcel Audiard
-Publishroom
-372 pages
-Policier, enlèvement, adolescence
*Merci à Publishroom pour m'avoir donné l'opportunité de lire ce très bon roman en service de presse*
Le commentaire de Nathalie :
Un garçon est enlevé par son propre père pour faire payer son ex, en échange d'une rançon, mais malheureusement pour lui les amis du jeune vont tout faire pour le sauver.
Puis un autre enlèvement met la police en alerte, celui d'une jeune Israélienne séquestrée en Suisse.
Une clinique qui semble très louche.
Beaucoup de personnes qui se croisent et des événements qui se produisent en mêmes temps.
Des chassé-croisées de criminels, policiers et jeunes adolescents
Des ados qui fuguent, des enlèvements, des caïds, des flics à la limite du légal, plein de rebondissements, des revirements, des anciens du Mossad.
Un polar addictif, une histoire enivrante d'une page à l'autre.
Une plume très rapide, détaillée, fluide. Ne surtout pas arrêter la lecture pendant en moment intense, tellement les il y a de détails, de personnages et d'actions différentes.
L'auteur a su garder mon attention jusqu'à la fin.
Puce et sa clique d'ados sont en passe de perdre l'innocence de l'enfance. Avi Panszer et son épouse Kathy sont sur les traces de leur nièce Emma. Le vieux briscard de la politique israélienne a-t-il toujours le nez pour diriger sa barque ? Le Mossad serait triste de le perdre en mission.
Une série d’enlèvements met familles et policiers du 18ème arrondissement à cran. Quand une étudiante venue de Jérusalem disparait à son tour des écrans radars, la panique monte jusqu’au Quai d’Orsay. Cinq histoires policières s’entrelacent en une chorégraphie de situations tendues et de dialogues cinglants. Qui des inspecteurs, d’une bande d’adolescents bravaches, d’huiles israéliennes, des ravisseurs va s’en sortir le moins cabossé ?
Entre polar et roman initiatique Le Maure m’a tuer boucle la Crilogie commencée par Le Cri du corps mourant et Le Cri du mort courant. Mais cette fois-ci on ne crie plus, on mord !
Remarqué par la critique à la sortie de son premier opus du Cri, Marcel Audiard revient avec son style taillé à la serpe, sa galerie de portraits hauts en couleur et sa touche néo-vintage. Une 205 GTI, des camarguaises, des femmes blessées par la vie qui tiennent la dragée haute à des loosers de tout poil, des ados goûtant à l’interdit…., Le Maure m’a tuer est aussi la radiographie d’un monde qui vit ses derniers soubresauts.