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-La maman de Casa

-Rémy Belhomme

-Les Éditions au Pluriel

-216 pages
-Roman autobiographique, Maroc, sentiments, mamans

*Merci à Marika Daurès Communications pour m'avoir donné l'opportunité de lire ce très bon roman en service de presse*

*Les Éditions au Pluriel* 

*Amazon FR*

*Marika Communications*

*Rémy Belhomme, auteur(FB)*

 

Le commentaire de Nathalie :
Lorsque Rémy s'est aperçu qu'il était le dernier survivant des Belhomme, une idée lui est venu. Pourquoi ne pas écrire leur histoire, qui n'a rien de banal, qui se promène du Maroc à la France entre deux mamans. La première, Ginette, les a abandonnés, son frère Frédéric et lui, pour aller rejoindre sa liberté, son amant et sa passion, les cartes. La deuxième Odette, est devenue la maman de transition peut-être, mais la maman qui les a aimé comme ses propres enfants toutes sa vie. Après de nombreuse années, Ginette revient en France pour se rapprocher de ses garçons, malheureusement pour Rémy, c'est trop peu et trop tard. Sa famille, c'est sa femme et ses enfants, ses parents Pierre et Odette. Il n'a pas besoin de cette mère de Casa. Malgré tout, elle reviendra faire beaucoup de dégâts, surtout dans la vie de Frédéric qui lui la prendra sous son aile malgré ses défauts et son vice du jeu. Rémy réussira toujours à se tenir le plus loin possible malgré certaines tentatives, qui dès le départ était vouées à l'échec.
Partir pendant plus de 20 ans et croire qu'on peut reprendre sa place sans dégâts, sans douleurs est une utopie pour Ginette qui de toute manière n'a toujours vécu que pour le jeu et la liberté. Mais à quel prix.
L'auteur nous raconte sa vie sans tabou, sans censure avec son cœur et parfois son âme. On ressent ses joies, ses peines et ses doutes à travers sa plume. Il a mis sa vie sur papier et nous en avons retiré un petit bonheur dans notre lecture. 
 

Résumé : 
Ce n’est ni un conte, ni une tragédie, ni une comédie ; ce roman, c’est son histoire. "Lorsque j’ai posé le pied sur le quai je tenais à la main droite un minuscule ours en peluche habillé en cow-boy et à la bouche un accent du Midi qui pour un parisien des années cinquante frisait la pagnolade. Le premier ne m’a jamais quitté et sa petite silhouette râpée trône encore avec bienveillance aux côtés d’autres trésors sur une étagère de ma chambre. Le second m’a toujours accompagné avec discrétion, comme un accent bien élevé. Il a gentiment refait surface chaque fois que l’occasion s’est présentée de vider quelques verres avec mes amis du sud "

 

Tag(s) : #ROMAN AUTOBIOGRAPHIQUE, #MAROC, #SENTIMENTS, #MAMANS, #NATHALIE C