*LE CIEL ÉTAIT DE VERRE* Alexandre Rabor* Auto-éditions* par Nathalie Courchesne*

-Le ciel était fait de verre

-Alexandre Rabor

-Auto-éditions

-153 pages

-Roman dramatique, saga familiale, thriller, chirurgien, légende

*Merci à Alexandre Rabor pour m'avoir donné l'opportunité de lire ce très bon roman en service de presse*

*Amazon FR***Amazon CA*

*Alexandre Rabor (FB)*

Le commentaire de Nathalie :
Quel bonheur, ce fut pour moi de me replonger dans l'univers de cet auteur qui malgré son roman de peu de pages a su me captiver jusqu'à la dernière page. Une très belle histoire avec une petite touche de magie tirée d'une légende. Mais est-ce la réalité ? L'important, c'est qu'eux y ont crus tout comme nous lecteur avons été envoûté.
On suit l'histoire de trois femmes fortes et passionnées qui croient en leurs rêves, mais qui connaissent de très belles histoires d'amour, mais malheureusement aussi des malheurs de toutes sortes. Que ce soit Victoire, une danseuse étoile qui dansera pour la dernière fois dans Le Lac des Cygnes devant sa fille ou encore Alice qui elle une fois adulte devra surmonter les menaces d'une personne qui en veut à son bonheur. Puis la petite dernière Lara, qui sera sauvé d'une mort certaine par l'amour et la magie. J'aimerais tellement vous en dire plus sur l'histoire de ces trois femmes aux destins de verre, mais j'aurais peur de vous en dévoiler trop. Il n'en tient qu'à vous de vous plonger dans les pages de cet auteur qui avec sa plume fluide, captivante et avec un brin de romantisme et d'amour, le tout enrobé de suspense et de magie.

 

Résumé :
Pour Jason Westfield, un des plus grands chirurgiens new-yorkais, il n’y aurait pu y avoir rien de pire que de rater une opération. C’est pourtant ce qui lui était arrivé, et en plus, la patiente concernée était un être cher.

Le ciel était fait de verre raconte le destin de Victoire, d'Alice et de Lara, trois femmes prises dans les courants de la vie.

Dans ce roman, le plus sombre des malheurs semble à un moment inéluctable. Et pourtant...

Le ciel était fait de verre ou quand une lueur d’espoir éteint la nuit.