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*Je tiens à remercier Évidence Éditions pour ce service de presse*
-Ils étaient vingt et cent...
-Stanislas Petrosky
-Évidence Éditions, collection Clair Obscur
-228 pages
-Roman historique, témoignage, biographie, génocide, horreur, seconde guerre mondiale
Le commentaire de Martine : COUP DE COEUR!
Quelle lecture que je viens de terminer, un roman émouvant, touchant, qui dépeint avec réalisme une période difficile de la Seconde Guerre mondiale. On va suivre un homme qui tente de rester sain d'esprit au cœur d'un camp d'extermination à . Dans le récit que nous offre Stanislas Petrosky sur ce lieu, les événements, les réalités de ce côté du barbelé, un récit qui nous donne des relents de ces atrocités, de ces horreurs, de ces actes barbares perpétrés sur les femmes du camp, le plus grand camp du troisième Reich.
Ce roman est un trésor de la mémoire d'une époque de conflit qui a fait le plus grand nombre d'exterminations sur des gens innocents. Ce récit est très réaliste, mais il faut garder en tête que Gunther avait le désir de devenir un artiste et non, un illustrateur de scènes horrifiques. Ses yeux auront vu les pires horreurs commises par des êtres humains. C'est vraiment une lecture difficile, tout en étant, marquante, c'est une des raisons de mon coup de cœur. Et aussi pour la plume de Stanislas Petrosky qui est sensible, honnête et empathique.
Un titre que je vous recommande, surtout pour ceux qui aiment lire des romans de la période de la Seconde Guerre mondiale.
Résumé :
Gunther, jeune Allemand opposé au régime nazi, excelle dans l’art du dessin.
Il se retrouve promu illustrateur officiel du camp de Ravensbrück, son œil d’artiste interprète la vie et surtout la mort.
L’histoire d’un homme qui a vu la construction et la libération du plus grand camp d’extermination de femmes du IIIe Reich, un homme qui a vécu des deux côtés des barbelés.
« Saisir l’horreur à la pointe d’un crayon. »