*Je tiens à remercier l’auteur Yves Plouffe et DOLA Communications pour ce service de presse*
-Les dessous prennent le dessus
-Yves Plouffe
-Essor-Livres Éditeur
-172 pages
-Polar, roman policier, assassinat, COVID 19, industries scientifiques et pharmaceutiques
Le commentaire de Martine :
Un excellent polar québécois qui nous ramène au début de la pandémie de la Covid 19, ou la femme d'un ministre des Affaires extérieures du Canada. On entre dès la première page dans un bon suspense avec machination, sexe, politique, secret, meurtre, avec des événements surprenants et marquants, il faut dire qu'Yves Plouffe a un talent pour garder son lecteur en alerte en créant une intrigue bien ficelée, incroyable, stupéfiant.
La trame est une enquête policière pour le meurtre, mais lors de ladite enquête plusieurs couches d'informations seront ajoutées surtout que nous sommes en plein dans la pandémie, l'auteur ose aussi pousser d'un cran son enquête sur tous les rouages des scandales politiques, pharmaceutiques, scientifiques. Il a réussi de main de maître en assemblant tout, pour créer un bon polar, qui m'a permis de passer un bon moment de lecture.
Je vous le recommande, cet auteur est à lire et à surveiller, j'aime beaucoup ce qu'il propose.
Résumé :
Ce roman a pour point de départ l’assassinat sordide de l’épouse du ministre des Affaires extérieures du Canada. L’enquête est confiée à l’équipe de Hercule Holmes, composée d’Agatha Pion, de Georges Larrivée et de James Bondel. Des événements surviennent assez régulièrement concernant des scandales importants de nature scientifique ou sexuelle dans d’autres pays que le Canada. Ce dernier peut-il être à l’abri de tels scandales ? Le livre Les dessous prennent le dessus donne une réponse éclairée à cette question par le truchement d’avenues fort surprenantes. Ce roman se déroule dans le contexte de la pandémie de la Covid-19 en 2020, à partir de ce que l’auteur a vécu personnellement et compte tenu de l’environnement médical où œuvre sa famille immédiate. Il s’est également inspiré de gens d’affaires qu’il a vus travailler parfois dans des pays fort dangereux.