*Je tiens à remercier l’auteur JF Loyer pour ce service de presse*
-Indirectum, directum et rectum
-J.F. Loyer
-Auto-éditions
-400 pages
-Roman philosophique, inconscient, conscience, réflexions
*J.F. Loyer, site de l'auteur* |
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Le commentaire de Martine :
Un roman qui se déroule dans la tête d'Olivier, un entretien continuel entre la raison, l'émotion et l'instinct pour chaque moment, occasion ou situation qui se présente.
Les pensées se bousculent, on a un amalgame de situations diverses qui pour certaines nous accroche un sourire, de petites pointes d'humour semées par-ci, par-là. Un récit qui nous permet de s'infiltrer dans la tête de notre personnage Olivier ou chaque décision et motivation est décortiquées, analysés et partagés avec le lecteur.
Un roman très innovateur qui nous transporte dans la pensée humaine d'une façon exceptionnelle.
Résumé :
Ce roman se déroule entièrement dans la tête d’un homme prénommé Olivier. L’histoire débute à la seconde près où celui-ci se réveille le matin, et se termine au moment où il s’endort à la fin de sa journée. Chacun de ses gestes, à chaque instant, sera observé de l’intérieur ; un accès illimité à ses réflexions qui dirigent toutes les décisions de sa journée.
Camouflés dans l’ombre de l’inconscient, ces bouleversements consensuels qui s’évertuent à nous influencer passent généralement inaperçus dans notre quotidien. Alors si, pour une fois, on portait attention à toutes ces observations et ces questionnements? Si l’on entendait les différentes voix que chaque être humain possède? Force est d’admettre que si cela pouvait être possible, nous deviendrions tous fous avant la fin de la journée!
Les pensées sont des atomes libres qui ne sont aucunement régies par les lois de la physique. Les pensées peuvent toutes se bousculer dans une seule seconde, ou se taire pendant plusieurs minutes.
Dans ce roman, la raison, l’émotion et l’instinct d’Olivier discutent ensemble, argumentent et se disputent quant aux choix à faire avant de statuer sur la ligne directrice à adopter. À certaines occasions, le chemin à emprunter est aisé, mais souvent le processus décisionnel peut s’avérer tout aussi douloureux que de s’insérer un suppositoire trempé dans le Tabasco.