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*Je tiens à remercier les Éditions de l’Interligne pour ce service de presse*
-Rêve-creux
-Alexis Rodrigue-Lafleur
-Les Éditions de l’Interligne, collections Vertiges
-264 pages
-Roman contemporain, fantastique, imaginaire, cauchemar, famille
Le commentaire de Martine :
Un roman composé majoritairement de dialogue entre quelques personnages tels que Marguerite, Noah, leur père et leur mère, le grand-père et un professeur de philosophie.
Marguerite et son frère Noah, sont deux enfants normaux, le jour, tout va bien, mais la nuit, ils sont pris de crises de somnambulisme fréquentes. Les crises nocturnes que vivent ses enfants dépassent la théorie des cauchemars et du somnambulisme, ils sont comme des automates, on va même jusqu'à soulever la théorie de la possession. Existe-t-il un nom pour décrire les faits et gestes qui bouleversent la vie de la famille de Marguerite et Noah, arriveront-ils à trouver la réponse à leur enquête et est-ce que cela peut se résorber ou arrêter ?
Rêve-creux, est un roman qui ose marier l'imaginaire et le réel, Alexis Rodrigue-Lafleur arrive à bien soutenir l'intrigue du début jusqu'à la fin. Une histoire captivante, qui m'a plu surtout les théories surnaturelles qui sont soulevées et examinées. Une lecture intéressante puisque l'auteur intègre des contes et légendes dans son récit, ce qui lui donne une belle dimension de fantastique.
Je vous le recommande chaudement pour tous les amateurs de fantastique.
Résumé :
Après L’odeur du gruau, un premier roman remarqué par la critique, Alexis Rodrigue-Lafleur étonne avec Rêve-creux, roman au style proche du documentaire, pourtant à cheval entre rêve et réalité.
Quand des crises de somnambulisme surviennent nuit après nuit chez Marguerite, 15 ans, et son jeune frère Noah, le quotidien de la famille s’en trouve bouleversé, poussant leur père à enquêter. Celui-ci erre à tâtons parmi des théories surnaturelles, voit des coïncidences partout et trouve dans un roman fantastique du siècle dernier de troublantes solutions à la « possession ». Lui faudra-t-il admettre que la fiction fait partie intégrante de la réalité ?