*ORAGE DEHORS...ET RAGE DEDANS!* Philippe Bonnafon* Éditions Jets d'Encre* par Martine Lévesque*

*Je tiens à remercier les Éditions Jets d’Encre pour ce service de presse*

-Orage dehors... et Rage dedans !
-Philippe Bonnafon
-Éditions Jets d’Encre
-220 pages
-Philosophie, humanité, condition humaine, destruction, reconstruction

*Éditions Jets d'Encre*

*Amazon FR***Amazon CA*

Le commentaire de Martine :
Philippe Bonnafon, dans cette nouvelle philosophique, nous offre l'appel d'un écrivain qui prend sa plume pour hurler sa douleur, dans la nuit, il nous livre son regard et sa pensée philosophique de l'humanité. Il dresse un portrait des êtres humains qui sont devenus le destructeur de la Terre. Un regard honnête, froid, limpide de la nature humaine et ses dérives. Tout au long de ce parcours, il essaye de trouver une parcelle de lumière qui viendra apporter l'espoir. Mais je pense que la réflexion de Philippe Bonnafon est assez sévère, il nous conscientise à la réalité qui se joue présentement dans le monde, les catastrophes naturelles, les épidémies, les guerres, les déboires abusifs de l'humain sur la nature, son livre amène une réflexion sérieuse de notre impact sur les autres humains, c'est un face-à-face avec la vérité.
Un livre que je vais relire, car je pense que plus on le lit, plus on saisit de nouveaux éléments décrits par l'auteur. Philippe Bonnafon a une plume que je veux découvrir avec d'autres de ses écrits, c'est un auteur que je vais suivre. 

Résumé :
Le temps est à l’orage. La Terre se meurt. Elle est infestée par un virus dont elle ne parvient pas à se déprendre : l’humain. Entre calamités et convulsions, explosions et perturbations, génocides, guerres et pandémies, la Terre saigne de toutes ses veines. En vain, elle pleure toute sa peine.
Et quand vient la nuit, rien ne s’arrête. Et encore moins la plume de l’écrivain. Au milieu des tempêtes, elle s’agite et débite mots et phrases jusqu’à s’effriter. Dans le silence de la nuit, l’écrivain hurle sa colère contre une humanité avide, cupide et destructrice, avec l’espoir toujours vain qu’avec l’aurore, surgisse une lueur d’espérance.
Plus cynique que jamais, Philippe Bonnafon livre un texte chargé au vitriol, à l’acide et à la soude dans lequel il dresse un portrait impitoyable de la société et de la condition humaine.