*Je tiens à remercier Les Éditions Librinova pour ce service de presse*
-Le jour où il n’y eut plus de nuit
-Irène Krassilchik
-Les Éditions Librinova
-352 pages
-Science-fiction, dystopie, comportement, science
Le commentaire de Martine :
Les phénomènes dans ce roman se multiplient, le soleil ne se couche plus, personne n'a besoin de sommeil ou ne semble fatigué, la faim ne se ressent plus, les enfants ont une croissance accélérée, les inondations et les morts se multiplient, etc. On croit entrer dans une série d'événements apocalyptiques où tous les fléaux arrivent. On souligne que les changements climatiques se sont accentués, tout en dégageant un certain détachement de ceux-ci.
Des personnages différents, qui semblent vivre des rebondissements surprenants. Une histoire qui présente des incongrues dérivations des événements qui m'ont semblé incompréhensibles et que voulait montrer l'auteure Irène Krassilchik avec cette intrigue ?
Un roman écrit sous la forme d'un monologue ce qui rend la lecture plus ardue. Les événements qui semblent se succéder permettent aux lecteurs de poursuivre la lecture pour connaître de dénouement final, mais qui pour moi à soulever de plus en plus de questionnements.
Je ressors de cette lecture avec un sentiment d’ambivalence, les personnages sont intéressants, les thèmes n'étaient abordés que sommairement, tandis que la plume de l'auteure Irène Krassilchik mérite d'être lue.
Résumé :
Des événements vraiment insolites, dont on ignore la cause, rassemblent dans un appartement les habitants d’un immeuble qui ne se connaissaient pas ou alors très vaguement. S’agit-il de la fin du monde, ou en tout cas de la fin d’une vie dite normale ? Dans ce rassemblement hétéroclite de gens différents en âge, situation sociale, sexualité et centres d’intérêt, rapprochés par leur interrogation commune sur l’absence de nuit et le sens de ce qui leur arrive, la situation évolue dans des directions imprévues, avec des rebondissements étonnants, parfois cocasses, à la limite de l’imaginable. S’agit-il de science-fiction ? Ou d’une hallucination ? Ou d’une réalité déjà là, mais que nous n’avions pas pu ou voulu connaître ? C’est en tout cas la survenue d’un grand chambardement.