*Merci aux Éditions Christine Bonneton, spécialement à Laura pour ce service de presse*
-Le pardon de la dame blanche
-Nicole Provence
-Les Éditions Christine Bonneton
-188 pages
-Conte fantastique, manoir, Écosse, fantômes
Le commentaire de Lynda : ♥ Coup de coeur ♥
Par le passé, j’ai lu bien souvent des romans de Nicole Provence, et je dois dire qu’avec ce roman-ci, elle m’a beaucoup surpris, un genre complètement différent de ce que j’ai eu l’habitude de lire de cette auteure.
Qui dit Écosse, dit souvent mystère, et bien nous sommes vraiment gâter avec ce roman.
Clotilde se retrouve dans le manoir de son fiancé Trevor. Dès le départ, des choses bizarres se produisent, entre autres les hallucinations dont elle est victime, de plus, on lui livre des messages venant de l’au-delà.
Pendant son sommeil, ça ne s’arrête pas, une mystérieuse dame blanche qui essaie tant bien que mal d’entrer en contact avec elle.
Mais qui est-elle, quand la dame blanche se met à lui fredonner un air qu’elle a entendu maintes et maintes fois dans son enfance, une balade qu’on lui chantait, Clotilde est de plus en plus perplexe.
Quel est tout son mystère, sans oublier que même son chien Wippy, ne semble plus être lui-même non plus !
Que dire, pendant la lecture nous sommes envoûtés par ces fantômes, par cette aura mystérieuse que l’on ressent, et oui on peut ressentir certaines choses, et ce, grâce à la magnifique plume de Nicole Provence, elle nous accroche solidement avec ses mots. Une plume, qui nous fait vivre plein d’émotions.
La vie de Clotilde est menacée, seule la fuite lui sauvera la vie, croit-elle. Et si la rencontre avec Trevor, n’était pas un hasard, s'il y avait vraiment un message à saisir à travers tout ça ?
Une romance, un mystère, du fantastique et des fantômes, quoi demander de plus, pour une excellente lecture qui s’est avéré un coup de cœur pour moi !
Résumé :
Dès la première nuit dans le manoir de son fiancé Trevor MacDougall, au nord-est de l’Écosse, Clotilde est prise d’hallucinations. Dans la lande des âmes tourmentées errent ou se plaignent derrière des portes hermétiquement closes.
• Seule avec son lévrier Wippy, elle fait face à ces manifestations de l’au-delà. Lors d’une chevauchée, d’étranges apparitions lui délivrent de silencieux messages. Que lui veulent-ils ?
• Mais voici que Clotilde entre en relation avec une jeune femme qui, au XVIII e siècle, était l’amie de la reine Marie Stuart. La Dame lui chante alors une ballade. Clotilde la reconnaît : elle a souvent bercé son enfance. Qui la lui a chantée ? Et pourquoi, alors qu’elle est projetée dans la spirale du passé, cette Dame en haut de la grande tour carrée pleure-t-elle la mort de son pigeon blanc, porteur d’un message à son père en douce France ?
• Tout se précipite, le danger se précise autour d’elle, les fantômes se font pressants. L’heure est venue… Clotilde doit fuir si elle ne veut pas mourir…