*ALLIANCE PALLADIUM* Stéphane Furlan* Éditions Cairn* par Cathy Le Gall*

*Merci à Stéphane Furlan et aux Éditions Cairn de m'avoir donné l’opportunité de lire ce livre en lecture de presse*

-Alliance palladium
-Stéphane Furlan 
-Éditions Cairn
-562 pages
-Polar, cyberterrorisme, chantage

*Éditions Cairn*

*Amazon FR***Amazon CA*

*Stéphane Furlan, FB*

Le commentaire de Cathy : ♥ Coup de coeur ♥
Stéphane Furlan est un auteur que je n'avais jamais lu, maintenant que c'est chose faite, je me dis pourquoi ne l'avoir pas fait avant.
Il nous propose un polar d'une grande qualité, avec un suspense intense, une histoire qui nous embarque de la première à la dernière page.
Nous rencontrons Victor Bussy, flic à Toulouse, un homme en pleine déprime suite à une séparation et en manque de ses filles.
La nouvelle affaire qui lui est confiée, c'est celle de l'assassinat d'un jeune homme de bonne famille, grâce aux différents indices, qui l'accusent, le coupable semble tout trouvé, cela semble trop facile pour Victor Bussy, il est bien décidé à découvrir le fin mot de l'histoire.
L'auteur joue avec nos nerfs, il a monté un scénario qui tient la route, c'est machiavélique, prenant, stressant, tout ce que j'aime.
Le personnage de Victor Bussy me plaît bien, au fil des chapitres, on découvre des références à une précédente affaire qui me donne envie d'approfondir ma connaissance de celui-ci.
Ce beau bébé de plus de cinq cents pages se lit très vite, on est pris par le suspense, on a envie de comprendre qui tire les ficelles, la plume de l'auteur est très agréable, il y a du rythme dans son écriture.
Gros coup de cœur pour ce roman, j'espère retrouver Victor Bussy lors d'une prochaine lecture.

Résumé :
Sale temps pour Victor Bussy. En lessivant Toulouse, la pluie s'accorde à son humeur. Déprimé par une séparation, en manque de ses filles, il vacille face au crime. Un jeune assassiné, un immigré victime d'un chantage et une nouvelle piste dans la traque des Cagoulés, rien que ça... Se sont-ils tous donné le mot pour le tourmenter ?
Peut-être, car Bussy perçoit bientôt une ombre devant la toile, une pensée qui joue du pinceau.
Face à elle, un seul recours : la Brigade des Crimes Parfaits.