*CORPS IMAGINAIRES* Claudine Potvin* Lévesque Éditeur, collection Réverbation* Productions Somme Toute* par Martine Lévesque*

*Je tiens à remercier Lévesque Éditeur et Les Productions Somme Toute pour ce service de presse*

-Corps imaginaires
-Claudine Potvin
-Lévesque Éditeur, Collection Réverbération
-200 pages
-Recueil de nouvelles, jeunesse, vieillesse, désir, immortalité

*Lévesque Éditeur*

*Productions Somme Toute*

Le commentaire de Martine : ♥ Coup de coeur ♥
J'ai aimé ma lecture de ses dix-neuf nouvelles qui démontrent le grand talent de l'auteure Claudine Potvin, ce que j'ai le plus apprécié, c'est la sincérité de sa plume, la sensibilité avec laquelle elle a choisi les mots exacts, ce qui démontre une connaissance profonde de l'esprit et de l'être humain. Ainsi, on plonge dans ce livre duquel émane un certain mystère, c'est avec curiosité que j'ai dévoré chacune des nouvelles.
Les personnages qu'elle a créés sont intéressants, ce sont des êtres humains ordinaires pour lesquels elle arrive à soulever un trait qui nous intrigue comme leur destinée, leur vulnérabilité, leur sensibilité, leur réussite ou leur échec, leur puissance autant que leur impuissance. Elle nous raconte leur histoire tout simplement, sans dorures, sans flaflas, directement leur vie réelle, tout ce qui a trait à leur vulnérabilité.
Un recueil qui m'a bouleversé par l'authenticité des mots et des histoires que l'auteure partage, dix-neuf récits qui font réfléchir sur notre nature profonde et les problématiques du quotidien qui pèsent lourd sur l'être humain. Pour ma part, c'est un véritable coup de cœur pour la plume qui dégage une maturité et une maîtrise qui captive l'attention du lecteur, merci Claudine Potvin.

Résumé :
Les dix-neuf nouvelles qui composent Corps imaginaires nous entraînent du côté des apparences, de celle des corps jeunes ou vieillissants, magnifiés par l’art, mais immobilisés dans l’espace clos et le temps suspendu des musées. Par le biais d’une écriture à la fois empathique et impitoyable, Claudine Potvin parle de la permanence du désir et de la quête d’immortalité qui nous habite, tous autant que nous sommes.