/image%2F1968841%2F20221215%2Fob_f5fd50_taurnada.png)
/image%2F1968841%2F20221215%2Fob_0ca6a8_la-mort-est-parfois-preferable.jpg)
*Merci à Joël de Taurnada Éditions de m'avoir donné l’opportunité de lire ce livre en lecture de presse*
-La mort est parfois préférable
-Sacha Erbel
-Taurnada Éditions, collection le tourbillon des mots
-252 pages
-Thriller psychologique, vengeance, douleur
Le commentaire de Cathy :
Nouvelle auteure dans la Team Taurnada et une nouvelle pépite.
Yan est flic à la police judiciaire de Lille, elle s'engage totalement dans chaque enquête qui lui est confiée, mais depuis quelque temps elle doit se battre contre un mal qui ronge ses chairs.
La jeune femme et son équipe sont amenées à enquêter sur le meurtre sordide d'un journaliste et sur des suicides aux mises en scène étrange.
Yan, va-t-elle tenir le coup, va-t-elle encore pouvoir longtemps supporter cette douleur cuisante qui ne la quitte plus ?
Dès les premières pages de ma lecture, j'ai été happé par cette histoire que nous propose Sacha Erbel, j'ai de suite compris que celle qui nous proposait une telle histoire savait de quoi elle parlait, après recherche, j'ai appris qu'elle était diplômée en criminologie appliquée à l'expertise mentale et fonctionnaire de police depuis plusieurs années.
La personnalité de ses personnages est très bien travaillée, on découvre les liens qui les unissent, la force qu'ils doivent avoir pour supporter ses enquêtes.
Yan est celle à laquelle je me suis le plus attachée, parce que je suis une femme, j'ai eu la sensation de ressentir, dans mon propre corps, cette souffrance qu'elle vit jour après jour.
L'intrigue est très prenante, j'ai aimé suivre les investigations de ces enquêteurs, un récit bien construit, la plume est maîtrisée, grâce aux divers rebondissements, je n'ai pas vu les pages se tourner, je viens de passer un excellent moment de lecture.
Résumé :
Yan est flic à la police judiciaire de Lille. Depuis quelque temps, un « passager clandestin » s'est invité dans sa vie : « l'Araignée », c'est le surnom qu'elle lui a donné. Alors que Yan traque l'auteur du meurtre d'un journaliste connu pour ses reportages à sensation, elle n'a pas d'autre choix que de composer avec son « invisible ennemie » : insidieuse, omniprésente, l'Araignée tisse sa toile, cuisante morsure dans ses chairs survenant n'importe où, n'importe quand… En parallèle, Brath, son collègue, enquête sur la mort étrange d'un homme retrouvé décapité, assis au volant de sa voiture, la tête reposant sur la banquette arrière. En équilibre sur un fil, Yan ne baisse pas les bras, avance sur son chemin de douleurs au risque de se perdre… définitivement.