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*Tome 1: Le Pari* |
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*Merci à Évidence Éditions pour cette belle lecture en service de presse *
- Mon patron ce con
-Tome 2 : le gage
-Julie Boutin
-Évidence Éditions, collection Énaé
-520 pages
-Comédie, new adult, relation de travail, humour
Le commentaire de Carole :
C’est avec joie que nous retrouvons, Clémentine et ses colocataires Scott et Ryan. Encore une fois, ils vont nous divertir avec leurs paroles et leurs gestes trop souvent insensés. Clem est toujours ce personnage très coloré, provocante, accro au sexe et au café. Dans ce tome-ci, nous allons connaître les états d'âmes d’Ezra, le patron de Clem, qui n’en peut plus de son assistante qui parle sans arrêt pour dire plus fréquemment des choses inutiles qu’essentielles. Celui-ci ayant perdu le pari que son ami Jonas lui avait imposé, devra en subir les conséquences et passer une journée à jouer un rôle qui est loin de lui plaire, mais qui fera jouir Clem de bonheur. Jonas n’est pas en reste, car Clem a décidé que lui aussi devra relever un défi haut en couleur, aucune crédibilité dans la situation, mais des fous rires garantis. J’avoue que je ne voudrais pas être à leur place. Le côté irréaliste de l’histoire est un remède à la relaxation, même si nous réalisons l’exagération des défis à relever, on ne peut s’empêcher d’embarquer dans l’histoire et de trouver cela hilarant. Les personnages ont une énergie incroyable qui peut rendre jaloux tous les hyperactifs et une complicité exceptionnelle que l'on peut envier. L’auteure a cette facilité à bien décrire le rôle de chaque personnage et sa plume fluide donne le rendement attendu. Toutefois, à un moment, j'ai trouvé ça un peu répétitif, mais ça ne m’a pas empêché de continuer ma lecture. Je suis curieuse de savoir ce que nous réserve le troisième tome, mais je ne suis pas inquiète, l’auteure a de l’imagination et elle saura nous surprendre.
Résumé :
Tout ça n’était qu’un pari, un pari idiot, mais surtout un pari qui me concernait. Ça ne lui a pas suffi de me faire renvoyer, il a bien sûr fallu qu’il m’embauche en pariant avec cet autre abruti que je démissionnerais.
Eh bien, autant dire qu’il a perdu et que je ne vais pas en rester là !
Tout ça pour un petit « Allez-vous faire foutre » lancé comme ça.
Quitte à perdre mon boulot, autant le perdre après une bonne dose d’insultes. Mais le pire dans tout ça, c'est que j'adore mon job, le seul point noir, c'est lui !