*Je tiens à remercier Les Éditions de La Presse et Le Groupe Fides pour ce service de presse*
-Ce que la vie doit à la mort: Quand la matriarche de la famille tire sa révérence
-Boucar Diouf
-Les Éditions de La Presse
-152 pages
-Roman philosophique, amour, vie, deuil, mère, Covid-19
Le commentaire de Martine :
Dans ce livre, on pose des questions fondamentales dans le langage imagé que seul Boucar Diouf sait le faire. C'est au moment de la perte de sa mère durant la covid-19, il n'a pas pu l'accompagner et ni la voir avant qu'elle ne décède, il s'interroge sur le sens de la vie, de l'amour qui relient un fils à sa mère, et sur ces moments inoubliables que nous partageront avec notre matriarche.
Cet ouvrage soulève des questions de deuil, de la mort, de souvenirs et de réflexions sur la vie qui est passée et celle qui continue.
C'est un livre avec une histoire touchante, émouvante, passionnante doté d'un grand humanisme avec une belle sensibilité.
Résumé :
« Comme chez les éléphants, la matriarche humaine est le pilier central de la famille », écrit Boucar, qui a perdu sa mère l’an dernier. « C’est pour me relever de sa disparition que j’ai écrit ce modeste bouquin ». Un livre aussi touchant qu’instructif et tendre.
Avec sa verve habituelle, son humanisme lucide et son sens inné de la vulgarisation scientifique, Boucar nous rappelle quelques vérités essentielles de l’existence. De celles qui nous aident à apprivoiser la mort mais aussi à profiter pleinement de la vie puisque qu’elles « sont les deux faces d’une même pièce ».
Qu’il évoque ce que lui ont légué ses ancêtres ou qu’il partage avec nous ses connaissances, le conteur biologiste fait le lien entre le monde réel et celui qui nous habite. Et nous assure que nos mères vivent en nous, autant sur le plan spirituel que matériel. « Comme dit le proverbe africain, l’éléphant meurt, mais ses défenses demeurent. » Parole de Boucar!