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*Merci aux Éditions Librinova de m'avoir donné l'opportunité de lire ce très bon roman en service de presse*
-L’homme qui n’aimait pas les chats
-Louis-Laurent Brétillard
-Éditions Librinova
-157 pages
-Roman, virus, épidémie, ailurophobie, chats
Le commentaire de Nathalie :
À la suite d’une découverte vieille de 30,000 ans, Fred Martini, va pouvoir réaliser son plus grand rêve, faire disparaître tous les chats de la terre. Car Fred souffre d’une immense phobie des chats. Il les déteste, les haïs, les exècrent, il ne peut pas vivre avec cette chose, qu’il redoute. Il utilise donc un virus, qu’ils ont reçu lors de la découverte du vieux chat. Il commence à répandre le virus sur l’île d’Yeu, qui causera la fermeture de cette île, puis le virus se rependra sur plusieurs continents. Fred voit les chats mourir un peu partout aux nouvelles, et jubile, mais il déclenche aussi une guerre des pharmaceutiques, pour la course au vaccin. La levée des complotistes, et les ministres deviennent fous. Tout ce branle-bas de combat, pour sauver des chats, en France, en Italie et, en Angleterre (pour le moment). Fred jubile intérieurement, car c’est lui qui est nommé par l’institut, pour venir à bout de cette pandémie. Réussira-t-il à enrayer tous les chats, pour son seul bien-être, ou son assurance, finira-t-elle par lui nuire ?
Une plume très captive, à la fois réelle, et utopique. Mais avec la pandémie que l’on vient de passer, tout me semble possible. Une lecture rapide, et intéressante.
Résumé :
Fred Martini, chercheur à l'Institut Pasteur, souffre d’une grave phobie des chats. Pour les décimer il déclenche une pandémie avec virus trouvé dans le permafrost finlandais, fatal pour les chats mais inoffensif pour l’homme. Un premier foyer se déclare au mois d’août sur l’île d’Yeu. Un blocus maritime est mis en place, retenant sur l’île des centaines de vacanciers venus pour la journée. La tension monte ; le préfet fait intervenir une compagnie de CRS. Des complotistes y voient une manœuvre de Big Pharma alors que le professeur Didier Ragout l’affirme : l’aspirine suffit à guérir le matou. En direct sur BFMTV, ils tentent de rompre le blocus. Sur l’île, la situation s’apaise et vire à la fête, les adolescents s’organisent en communauté libre, surtout de leurs corps. Alors que des foyers éclatent en Angleterre et en Italie, le président de la République s’interroge : doit-on restreindre les libertés pour sauver les chats ? Le monde entier espère un vaccin.