/image%2F1968841%2F20180524%2Fob_c3e699_logo-128-128-beveled.jpg){kind=logo}
/image%2F1968841%2F20230214%2Fob_e27cb1_publish-room-factory.png)
/image%2F1968841%2F20230214%2Fob_73d740_il-n-y-a-pas-d-age-pour-etre-petite.jpg)
*Merci aux Éditions Publishroom de m'avoir donné l'opportunité de lire ce très bon roman en service de presse*
-Il n’y a pas d’âge pour être petite
-Maria Bernabeu
-Éditions Publishroom
-332 pages
-Auto-biographie historique, rêves d'enfant, souvenirs
Le commentaire de Nathalie :
Avec l’aide de sa mémoire, de sa plume, et de son « journal-thérapie », Maria nous raconte l’histoire de sa famille entre deux pays. L’Espagne, pays d’origine et de cœur, et la France, pays d’adoption. Tout a débuté, avec un souvenir traumatisant de l’année de ses 5 ans. Cette année-là, lui a fait tant de mal, jusqu’à tard dans son monde adulte. Elle nous raconte son histoire, et celle de sa famille, à partir des grands-parents. La rencontre, et la vie mouvementée de ses parents, qui se sont toujours aimés, malgré la maladie de sa mère, un exil en France et 5 enfants. Et Maria, qui fait partie des deux plus jeunes, celle qui a toujours pensé ne pas compter, celle qui s’est toujours un peu cherchée. Elle a fini par comprendre, et par se trouver, et devenir enfin heureuse, après avoir fait une thérapie, avoir rencontré Marc, et avoir enfin sa fille à elle à 40 ans.
On traverse avec sa plume, l’histoire de l’Espagne, ses guerres, ses us et coutumes, ses habitants, ses joies et ses peines. La condition gouvernementale, l’amour pour ce pays, malgré l’exil un peu forcé. La grande « familia » toujours présente entre les deux pays. Et, une petite fille de 5 ans, qui se demande encore pourquoi cet été-là, sa mère ne l’a pas emmené avec eux ? C’est un simple souvenir revenu en rêve, qui a déclenché la quête vers le bonheur de Maria.
Une belle histoire, une belle plume franche et vraie, sensible et honnête.
L’histoire d’une famille qui aura toujours l’Espagne dans le cœur.
Résumé :
''La maison adossée aux souvenirs'', venait à nouveau se glisser dans mes rêves. Elle m'invitait à repenser à la petite fille de 5 ans. Car, quand on a mal à son âme, on redevient l'enfant qu'on était. Et ma mère, elle aussi, avait toujours eu mal à l'âme".