*LA POUSSIÈRE NOUS CERNE PARCE QU'ELLE NOUS RESSEMBLE* Virginie Fauve* Éditions Le Lézard Amoureux, Groupe Nota Bene* par Martine Lévesque*

*Je tiens à remercier Les Éditions Le lézard amoureux et le Groupe Nota Bene pour ce service de presse*

-La poussière nous cerne parce qu’elle nous ressemble
-Virginie Fauve
-Les Éditions Le lézard amoureux
-144 pages
-Recueil de poésie, contemporain, premier recueil

*Éditions Le Lézard amoureux*

*Groupe Nota Bene*

*Virginie Fauve, FB*

Le commentaire de Martine :
Un bon petit recueil de poèmes qui dégagent la jeunesse, la vie urbaine et contemporaine tout en traitant des thèmes très intéressants comme la sexualité, la vie d'adulte, les relations, le féminisme, l'amour, l'amitié, etc.
Virginie Fauve a une prose qui lui est propre, elle a une plume percutante, réfléchie et actuelle. Elle dégage une sincérité et une authenticité qui eut ébranlé le lecteur à certains moments, mais moi, c'est que j'ai aimé que la poétesse ait l'audace de toucher certaines cordes sensibles. Quelle belle découverte et bravo Virginie Fauve pour votre premier recueil, cela promet. 

Résumé :
À travers une approche tantôt plus narrative, tantôt plus dépouillée, la poésie de virginie fauve questionne les assises, tant féministes qu'identitaires, qui teintent sa position ambiguë d'autrice confrontée à son héritage littéraire et à ses propres limites énonciatives. la poussière nous cerne parce qu'elle nous ressemble est divisé en trois parties (« que répondre sans arracher ta bouche des mots », « il faut renverser la toponymie avant qu'elle nous efface du paysage » et « rien de plus qu'une grande fatigue ») qui font défiler les multiples référents qui constituent la poète, mais qu'elle rejoue, détourne, réécrit. Elle cherche à comprendre, à investir une histoire qui l'inscrit en faux, qu'elle veut démentir sans pourtant renier.