*Tome 1* |
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*Merci à Inceptio Éditions de m'avoir donné l’opportunité de lire ce livre en lecture de presse*
-Eden Island
-Tome 2 : Si loin du paradis
-Hana Claistel
-Inceptio Éditions
-312 pages
-Dystopie, secrets, duologie
Le commentaire de Cathy :
Ce deuxième tome nous fait reprendre cette histoire en suite directe des événements ayant eu lieu précédemment, nous retrouvons Analia en mauvaise posture et c’est peu de le dire.
La jeune femme, après avoir ouvert les yeux sur Eden Island, elle doit subir les conséquences de ses choix et se retrouve seule sur une île pleine de déchets.
Accueillie, par les femmes qui y survivent, elle va très vite trouver sa place, mais la vie sur cette île est difficile, pour aider la communauté, elle va être désignée pour demander de l’aide.
Que va-t-elle encore découvrir dans ce monde sous la menace constante de la montée des eaux ?
Ayant beaucoup aimé le premier tome, de cette duologie, j’avais hâte de me replonger dans cette histoire qu’a imaginée Hana Claistel.
Heureuse de retrouver Analia dans cette suite qui nous fait découvrir un monde totalement différent de celui où la jeune femme évoluait, j’ai d’ailleurs été surprise du tournant que prend cette histoire.
L’univers est plus sombre, on a la sensation d’évoluer dans un monde dévasté, un monde dangereux.
Cette fois-ci c’est Analia le personnage principal, on la voit évoluer, grandir, devenir plus forte et faire preuve de courage, ce tome nous permet de rencontrer d’autres personnages également très attachants.
L’auteure a une plume très agréable, un style fluide, elle m’a embarquée dans son monde, un dépaysement total, je viens de passer un très bon moment de lecture.
Résumé :
«Quelques instants suspendus dans le temps, quelques instants durant lesquels elle veut croire que tout est encore possible, mais elle voit l’avion s’éloigner sans qu’il l’ait rejointe. Un cri strident déchire le silence, son propre cri sans doute, puis le noir. Le noir absolu. Combien de temps est-elle restée allongée là, en plein soleil, abandonnée de tous?»