*Merci à Lison Lescarbeau ainsi qu'aux Éditions Château d'Encre pour ce service de presse*
-Je suis Pompéi
-Ava Rose Riverain
-Éditions Château d'encre via Agence Lison Lescarbeau
-84 pages
-Inspiré de faits réels, maternité, violence conjugale
Le commentaire de Lynda : ♥ Coup de coeur ♥
Un tout petit livre qui se lit en un rien de temps, mais un sacré coup de coeur, ou coup de poing, comme vous le voulez.
J’ai tout simplement adoré, je suis passé par toutes une gamme d’émotions avec Alice.
De son enfance à l’âge adulte, c’est un chemin sinueux, traversé par tellement d’épreuves.
La rencontre avec Paul, celui qui deviendra son mari, qu’elle n’aime pas et lui non plus ne l’aime pas d'ailleurs, mais elle aura ce qu’elle voulait, c’est-à-dire un enfant, mais pour son mari cet enfant, sera l’arme qu’il pourrait utiliser pour détruire Alice.
Il faut qu’elle s’en sorte, quelqu’un sur son chemin, pourra peut-être l’aider?
Que puis-je vous dire ? Ce roman frappe fort, et fait mal. Il vous fera vivre des émotions très fortes à certains moments, mais pas que, des sentiments également, de la haine à l’amour, de la tristesse au bonheur. Nous sommes de tout cœur avec Alice, et l’on déteste tellement ceux qui lui font du mal.
Mais Alice est forte, elle est résiliente... Alors…
Une écriture hors du commun, une merveilleuse surprise que la lecture de cette auteure. Des mots qui nous font voir une femme que l’on a dénigré depuis sa petite enfance s’épanouir et devenir la plus belle des fleurs.
Résumé :
Librement inspiré de faits réels, Je suis Pompéi retrace le destin d’Alice, survivante d’une enfance profondément malheureuse. Sa rencontre avec Paul, un homme d’une apparente stabilité, propre et lisse, lui permettra de concrétiser son rêve de devenir mère et d’avoir une famille bien à elle. Mais le grondement d’une violence ordinaire et silencieuse refait surface et l’histoire se répète, faisant écho aux désillusions. Pour les hommes qui n’aiment pas les femmes, les enfants deviennent une arme redoutable et la Justice, leur bras droit. Alice glisse alors dans le cauchemar qui engloutit toutes les mères à qui on arrache ce qu’il y a de plus précieux. Figée dans une peine aussi dure que la pierre, contre toute attente, une main tendue l’aidera à se relever. La douleur d’Alice ne pourra jamais s’éteindre, mais cette voix complice viendra apaiser, en quelque sorte, son tourment intérieur.