*LA VIOLONCELLISTE QUI N'AIMAIT PAS SA GRAND-MÈRE* Hélène Élisabeth* Éditions Librinova* par Carole Emery*

*Merci aux Éditions Librinova pour cette belle lecture en service de presse*

-La violoncelliste qui n’aimait pas sa grand-mère
-Hélène Élisabeth
-Éditions Librinova
-163 pages
-Roman, musique, résilience, lettre anonyme, mise en garde

*Éditions Librinova*

*Amazon FR***Amazon CA*

*Hélène Élisabeth, FB*

Le commentaire de Carole : 
Homme d'affaires respecté, Serge a constitué un empire financier dont il est très fier. Son mariage est chancelant, mais il s'adapte bien à la situation. Héloïse, sa petite fille, reçoit des lettres anonymes lui faisant croire que son grand-père n'est pas celui qu'elle pense. Ayant une bonne relation avec celui-ci, elle décide de l'affronter pour lui parler de ces lettres. La discussion ne va pas comme elle espérait, elle constate que son grand-père est ébranlé, mais il garde le silence. Malheureusement, le lendemain, il est retrouvé mort. La grand-mère ne semble pas affectée par le décès de son mari, au contraire, elle traverse facilement le deuil. Il n'en faut pas plus à Héloïse pour partir en quête de réponse concernant ces fameuses lettres. C’est à Bichkek que tout va s’éclaircir en rencontrant Evguenia. Elle est enseignante à la retraite, vit pauvrement, s’implique très peu dans la société. Heureusement, elle reçoit l’aide d’une organisation qui s’occupe des ainés. Héloïse, dans sa quête, va se faire passer pour journaliste dans le but d’approcher Evguenia. Un lien d’amitié va tout de suite s’installer et les langues vont se dénouer. Ce roman est un petit bijou agréable à lire. L’entraide est mise au premier plan, la résilience face à des situations dont on ne peut gérer est bien décrite. La recherche que fait Héloïse face à son grand-père crée un suspense qui nous fait tourner les pages sans arrêt. Je ne vous en dis pas plus, mais je suis certaine que vous ne regretterez pas la lecture de ce roman. 

Résumé : 
Héloïse vient tout juste de rentrer à l'Orchestre philharmonique de Paris et sa vie semble enfin, réglée comme du papier à musique. A des milliers de kilomètres de là, Evguenia, habite une maisonnette au Kirghizistan. Elle n'attend plus grand-chose de la vie, à part couler des jours tranquilles et heureux auprès de ses amis. Une lettre anonyme vient perturber le quotidien de la jeune musicienne et de la babouchka. Le tempo s'accélère, la partition s'emballe à Paris comme à Bichkek. Dans La violoncelliste qui n'aimait pas sa grand-mère, Hélène Elisabeth, rend hommage à toutes les femmes qui affrontent la vie avec courage et résilience.