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*Merci aux Éditions Hashtag ainsi qu'à Sandrine Martinez pour ce service de presse*
-S'oublier au coin de la rue
-Lauriane Charbonneau
-Éditions Hashtag
-92 pages
-Poésie, dépendance, peine d'amour
Le commentaire de Lynda :
Je suis très loin d’être une experte en ce qui concerne la poésie. J’ai toujours eu un peu de difficulté à accrocher et comprendre tout le sens des mots. Mais voilà, il y a des exceptions, et S’oublier au coin de la rue, en est une.
On donne la parole à des femmes qui ne se fondent pas toujours dans ce que la société nous montre.
Les grosses filles qui se sentent mal-aimées, les femmes en colère, les femmes qui recherchent le prince charmant sans jamais le trouver, ces femmes pour qui le romantisme n’est pas pour elles.
Huit poèmes, huit histoires que l’on peut dire qui viennent nous chercher, parce que chacune de ses histoires, c’est un peu de nous, de moi ou de personnes que je connais.
Chacun de ses poèmes vibre de ce cri qui veut dénoncer les dépendances, la violence et les larmes des peines d’amour.
Je vous recommande de prendre le temps de lire ce petit recueil, en fait chacun des mots a été écrit pour nous, par une plume qui nous fait voir un autre côté de l’amour et des belles choses.
Résumé :
S’oublier au coin de la rue, c’est la parole des grosses filles mal-aimées, des survivantes en colère, des romantiques déchues. C’est la recherche d’un début de réponse pour guérir des relations toxiques et déconstruire l’image déformée de l’amour que reçoivent les personnes assignées filles. Dans ce livre, on parcourt, dans une poésie brute et viscérale qui ne fait pas de quartiers, les rapports sous influence, les dépendances multiformes, les violences sexuelles et les peines d’amour. Écrit pendant la vague de dénonciations de l’été 2020, S’oublier au coin de la rue se présente comme un manifeste sur le care et une dissection de la solitude humaine, qui passe d’un petit appartement, témoin de chaque secret, aux rues minées de souvenirs de Québec.