/image%2F1968841%2F20230905%2Fob_2ca094_essor-livres.png)
/image%2F1968841%2F20230905%2Fob_a238fc_distribulivre.jpg)
/image%2F1968841%2F20230905%2Fob_0ee8dd_chapitre-7.jpg)
*Je tiens à remercier Distribulivre pour ce service de presse*
-Chapitre 7, ou la vie difficile mais heureuse d'un écrivaillon
-Gilles Desharnais
-Essor Livres via Distribulivre
-144 pages
-Roman contemporain, écrivain, retraite, inspiration
*Essor Livres* |
---|
Le commentaire de Martine :
Un homme qui tente de devenir écrivain et d'écrire, mais il se retrouve dans une ambiance pour laisser parler son art. Il s'est isolé dans une pourvoirie pour quelques semaines dans la tranquillité pour trouver sa motivation et son imagination pour écrire. Ce qu'il va vivre, ce sera le syndrome de la page blanche.
C'est un petit roman qui nous permet d'entrer dans le monde et dans la tête d'un homme qui désire par-dessus tout écrire un livre. Cet homme est amoureux de la plume, mais le fait qu'il aime ne lui octroie pas tout le talent qu'il veut. C'est un récit intéressant qui sera étoffé au fil des pages par les rencontres. Les échanges, les moments d'isolement, il devra mettre en pratique tous les apprentissages qu'il fera.
Arrivera-t-il à réécrire ce chapitre 7 ? Que pourrait-il lui empêcher de retravailler son texte afin de le peaufiner et de l'étayer pour que les lecteurs l'apprécient à sa juste valeur ? J'ai passé un beau moment de lecture, je n'ai pas vu le temps passé, une bonne lecture de soirée avec un bon café.
Résumé :
Que fait un écrivaillon quand il tombe en panne d’inspiration ?
Notre homme choisira l’isolement, dénichera une pourvoirie où il séjournera pendant plusieurs semaines en espérant que la tranquillité du lieu l’aidera à retrouver l’inspiration. Il fera des rencontres, il y aura des rebondissements, l’imagination et l’inspiration reviendront à force de patience et de persévérance, d’aide aussi, notamment de la belle propriétaire de la Pourvoirie du Lac Creux. Bref, notre écrivaillon va non seulement parvenir à réécrire ce fameux chapitre sept, mais il va écrire un texte d’une sensualité et d’un érotisme jamais vu (et forcément jamais lu, on ne publie pas un écrivaillon).